La compagnie d'assurances du musée de Vienne où a été volée en mai 2003 une salière en argent et vermeil réalisée par l'orfèvre Benvenuto Cellini a reçu une demande de rançon de 5 millions d'euros de la part d'un maître chanteur. Trouvant cette exigence un peu trop salée, la compagnie a refusé d'y donner suite.