Artcult souhaite une bonne et heureuse année à ses visiteurs en espérant attirer de plus en plus de passionnés d'art.
2018 a rendu l'âme après des mois sans flamme pour de nombreux professionnels confrontés à une crise conjoncturelle qui a perduré depuis des années pour rendre les antiquités surannées alors que le marché s'est bien comporté avec l'art contemporain qui l'a conforté, sauf que nombre d'amateurs ont joué aux spéculateurs au détriment des connaisseurs qui n'ont plus eu d'épaisseur au milieu d'une nouvelle génération qui a perdu le sens de la passion dans un monde dépassé par la vitesse, manquant terriblement de justesse, qui fait que rien n'est plus comme avant et que le futur s'annonce navrant alors qu'il nous reste l'art, comme dernier rempart. Alors, lisez plutôt artcult, pour ne pas être incultes...