Le commissaire- priseur parisien Francis Briest a été mis en examen le 23 décembre 1997 pour avoir surestimé des oeuvres qui devaient être gagées auprès d'une banque pour l'octroi d'un crédit en faveur de deux marchands en 1990.
Francis Briest avait ainsi donné des estimations trop généreuses, favorisant ainsi ces deux marchands, Josée-Lyne Falcone et M. Carpentier lesquels purent de la sorte bénéficier d'un crédit généreux de la part de la banque.
Par ailleurs, un autre commissaire-priseur parisien pourrait être mis en examen pour avoir vendu pour 50 millions de FF de meubles et tableaux appartenant à la veuve d'un riche industriel et ce, sans l'accord de ses héritiers.
La veuve, décédée récemment à l'âge de 90 ans, était en fait sous la coupe de ses employés et du concierge de son immeuble boulevard Suchet à Paris lesquels étaient censés la soigner. Un membre de sa famille, après avoir eu toutes les difficultés du monde à l'approcher, s'était aperçu que les employés et le concierge avaient puisé d'importantes sommes sur son compte bancaire et qu'une partie de ses collections avait été vendue à l'hôtel Drouot sans l'autorisation préalable de ses héritiers.
Le commissaire- priseur parisien Francis Briest a été mis en examen le 23 décembre 1997 pour avoir surestimé des oeuvres qui devaient être gagées auprès d'une banque pour l'octroi d'un crédit en faveur de deux marchands en 1990.
Francis Briest avait ainsi donné des estimations trop généreuses, favorisant ainsi ces deux marchands, Josée-Lyne Falcone et M. Carpentier lesquels purent de la sorte bénéficier d'un crédit généreux de la part de la banque.
Par ailleurs, un autre commissaire-priseur parisien pourrait être mis en examen pour avoir vendu pour 50 millions de FF de meubles et tableaux appartenant à la veuve d'un riche industriel et ce, sans l'accord de ses héritiers.
La veuve, décédée récemment à l'âge de 90 ans, était en fait sous la coupe de ses employés et du concierge de son immeuble boulevard Suchet à Paris lesquels étaient censés la soigner. Un membre de sa famille, après avoir eu toutes les difficultés du monde à l'approcher, s'était aperçu que les employés et le concierge avaient puisé d'importantes sommes sur son compte bancaire et qu'une partie de ses collections avait été vendue à l'hôtel Drouot sans l'autorisation préalable de ses héritiers.