L'étude Blanchet a obtenu une enchère de 17 000 euros pour une toile de Louis Berthommé Saint-André titrée « Les Baigneurs » (97 x 130 cm), un record pour l'artiste.
A l'Hôtel George V, le groupe Tajan a obtenu 135 000 euros sur une estimation de 60 000 euros pour une commode à portes latérales en placage de satiné et bois teinté marqueté de filets d'encadrement à riche ornementation de bronzes dorés avec un dessus de marbre brèche marron et rosé mouluré estampillée de C. Topino, époque Transition Louis XV-Louis XVI. Cette commode avait été acquise pour 180 000 FF en 1980.
Une commode à portes sur le côté d'époque Régence attribuée à E. Dorat ouvrant également à deux tiroirs sans traverses, en placage de satiné et d'amarante marqueté en frisage ornée de tête d'espagnolettes, d'encadrements de tiroirs, d'entrées de serrure à trophées, de poignées, d'un culot en coquille et de pieds griffes en bronze doré a atteint 80 000 euros.
Un petit bureau de changeur d'époque Louis XIV en placage d'écaille rouge et d'étain marqueté de rinceaux feuillagés, de volutes, de rosaces et de palmettes ayant la forme d'un bureau Mazarin a été vendu pour 75 000 euros.
Une tapisserie de la manufacture de Beauvais de la première moitié du XVIIIe siècle, d'après les grotesques de Bérain représentant l'automne (332 x 226 cm) avec Bacchus sous un dais et une treille de feuillages, entouré par une bordure simulant un cadre a culminé à 61 000 euros.
Une pendule en bronze ciselé et doré, porcelaine et tôle peinte (hauteur 52 cm) figurant les Trois Grâces soutenant une cassolette à mouvement tournant sur laquelle repose un Amour, le mouvement signé de Lepaute à Paris a atteint 41 000 euros. Une paire de petits tableaux (20,5 x 25 cm) en étain gravé rehaussé de gouache et doré, représentant le pavillon de Madame du Barry à Louveciennes et le château de Maison-Lafitte, les deux animés de personnages et de voitures à cheval a été vendue pour 27 000 euros.
Une commode Charles X à porte en loupe d'amboine estampillée Maigret à deux vantaux masquant 4 tiroirs à l'anglaise en cadrés de colonnes détachées à double balustre, ornée de bronzes dorés, d'une rosace, de frises de palmettes, d'un cygne aux ailes déployées a atteint 40 000 euros.
Une pendule dite «à l'autel de Vénus» d'époque Louis XVI (hauteur 36 cm) sur un socle en marbre blanc ovale monté en bronze doré posé sur un pot à feu abritant un mécanisme à mouvement tournant flanqué de part et d'autre de Vénus et d'un Amour ailé tenant une colombe a été enlevée pour 36 000 euros.
Une pendule d'époque Directoire en bronze ciselé, patiné noir et doré représentant Robinson Crusoe tenant une ombrelle de sa fabrication et un fusil et recueillant Vendredi près d'un manguier sur lequel est posé un perroquet a atteint 60 000 euros.
Une table de salle à manger d'époque Restauration en acajou se présentant sous la forme d'un grand guéridon (diamètre 182 cm) a été vendue pour 60 000 euros.
Le 12 juin, le groupe PIASA a vendu pour 9 000 euros une paire de bougeoirs en argent (hauteur 13 cm) du XVIIIe siècle à décor d'armoiries sur une estimation de 600 euros. Un panneau rectangulaire (91 x 73 cm) en tapisserie dite « moquette » de la fin du XVIIIe siècle représentant une nature morte au vase céladon monté de bronze à côté d'une cornemuse, d'une mappemonde et d'un livre ouvert sur un entablement a été vendu pour 14 000 euros et une collection de 60 tire-bouchons a été emportée pour 15 500 euros.
Une commode d'époque Transition estampillée de François Rubestuck à ressaut de petite taille (largeur 92 cm) en placage de bois indigène à décor dans des réserves bordées de filets d'attributs de la musique et de bouquets de fleurs, ouvrant à 5 tiroirs sur trois rangs a atteint 27 000 euros.
Les ventes organisées du 9 au 16 juin 2002 à Paris ont été marquées par un record mondial enregistré pour une peinture à la cire sur toile de Sonia Delaunay intitulée « Marché au Minho » (92,5 x 127,5 cm datée de 1915) vendue pour 4 100 000 euros le 14 juin par l'étude Calmels.
Ce tableau, dont il existe une version au Centre Pompidou, avait été peint à la cire par Sonia Delaunay laquelle avait appris cette technique auprès du peintre mexicain Zarraga. Depuis 1913, l'artiste d'origine russe s'était appliquée à exprimer ses sentiments à travers la couleur pure. Elle peignit cette œuvre lors de son séjour au Portugal en 1915 et ce, en partant du réel pour aller naturellement vers l'abstrait et aux éléments essentiels comme les formes circulaires dont la ligne ne brise pas le rythme de la couleur.
Le 10 juin, une huile sur carton de l'artiste expressionniste allemande Gabrielle Münter (1877-1962) titrée « Le Village » et datée de 1919 a atteint 62 000 euros lors d'une vente organisée par l'étude Coutau-Bégarie.
Une toile de l'école française du XVIIIe siècle intitulée « Le Déjeuner en famille » a recueilli une enchère de 12 000 euros sur une estimation de 2 000 euros. Une peinture de l' école flamande du XVIIe siècle de l'entourage de David Téniers titrée « Intérieur d'une échoppe » (149 x 112 cm) a pratiquement doublé son estimation pour atteindre 40 000 euros. Une huile sur toile de l'atelier de Frans Snyders et de Théodore van Thulden représentant une allégorie de la fécondité a été vendue pour 51 000 euros. Trois toiles formant une suite d'allégories attribuées à Joseph Paelmek (1781-1839) ont atteint 42 500 euros.
Un mobilier de salon d'époque Louis XVI estampillé Pierre Brizard composé d'un grand canapé, de six fauteuils et d'une paire de marquises en hêtre mouluré rechampi gris, finement sculpté sur les dossiers avec des traverses de palmettes et de perles, les accotoirs et montants à pilastres et feuilles d'acanthe a atteint 100 000 euros. Un secrétaire hollandais de la fin du XVIIIe siècle marqueté dans des réserves géométriques en croix et incrusté de sept panneaux en laque du Japon et en ébène, ouvrant par un tiroir et un abattant a été vendu pour 49 000 euros, au triple de son estimation.
L'étude Lombrail a vendu pour 41 000 euros le « Theatrum Statuum regiae celsitudinis sabaudiae ducis », deux volumes datés de 1682 grand folio, 121 planches, la plupart à double page ou dépliantes sur la Savoie et le Piémont par Jan Blaeu.
L'étude Pescheteau-Badin a obtenu une enchère de 12 000 euros pour une huile sur papier marouflé sur carton signée de Victor Gilbert titrée « La Halle aux poissons » (50,5 x 42 cm). Une vue du Grand Canal à Venise (23 x 55 cm) par Luigi Querena, actif entre 1854 et 1879, a atteint 26 000 euros.
L'étude Le Mouel a vendu pour 17 000 euros un vase Egeo (hauteur 37 cm) en verre mosaïque de Murano vers 1960, travail d'Ercole Barrovier (1889-1974). Une coupe ovale pour Venini en verre « murrine » noir et rouge a doublé son estimation pour atteindre 25 000 euros. Un bureau de Gio Ponti (1891-1979) et Pietro Chiesa (1892-1948) en placage de palissandre, le plateau profilé en aile d'avion soutenu par quatre pieds effilés chaussés de hauts sabots en laiton doré, retenant de part et d'autre deux caissons ouvrant à trois tiroirs sculptés sur toute leur longueur d'un motif diabolo formant prise à atteint 25 000 euros.
Un élément mural créé par ces deux designers en placage de palissandre (173 x 286 x 45 cm) avec des parties évidées dessinant une composition géométrique retenant deux étagères profilées en aile d'avion et un caisson rectangulaire s'inscrivant dans le prolongement d'un élément à 7 casiers porte-revues en verre Securit, le tout équilibré par un caisson lumineux rectangulaire en laiton doré et tôle émaillée a été vendu pour 23 000 euros.
L'étude Blanchet a obtenu une enchère de 17 000 euros pour une toile de Louis Berthommé Saint-André titrée « Les Baigneurs » (97 x 130 cm), un record pour l'artiste.
A l'Hôtel George V, le groupe Tajan a obtenu 135 000 euros sur une estimation de 60 000 euros pour une commode à portes latérales en placage de satiné et bois teinté marqueté de filets d'encadrement à riche ornementation de bronzes dorés avec un dessus de marbre brèche marron et rosé mouluré estampillée de C. Topino, époque Transition Louis XV-Louis XVI. Cette commode avait été acquise pour 180 000 FF en 1980.
Une commode à portes sur le côté d'époque Régence attribuée à E. Dorat ouvrant également à deux tiroirs sans traverses, en placage de satiné et d'amarante marqueté en frisage ornée de tête d'espagnolettes, d'encadrements de tiroirs, d'entrées de serrure à trophées, de poignées, d'un culot en coquille et de pieds griffes en bronze doré a atteint 80 000 euros.
Un petit bureau de changeur d'époque Louis XIV en placage d'écaille rouge et d'étain marqueté de rinceaux feuillagés, de volutes, de rosaces et de palmettes ayant la forme d'un bureau Mazarin a été vendu pour 75 000 euros.
Une tapisserie de la manufacture de Beauvais de la première moitié du XVIIIe siècle, d'après les grotesques de Bérain représentant l'automne (332 x 226 cm) avec Bacchus sous un dais et une treille de feuillages, entouré par une bordure simulant un cadre a culminé à 61 000 euros.
Une pendule en bronze ciselé et doré, porcelaine et tôle peinte (hauteur 52 cm) figurant les Trois Grâces soutenant une cassolette à mouvement tournant sur laquelle repose un Amour, le mouvement signé de Lepaute à Paris a atteint 41 000 euros. Une paire de petits tableaux (20,5 x 25 cm) en étain gravé rehaussé de gouache et doré, représentant le pavillon de Madame du Barry à Louveciennes et le château de Maison-Lafitte, les deux animés de personnages et de voitures à cheval a été vendue pour 27 000 euros.
Une commode Charles X à porte en loupe d'amboine estampillée Maigret à deux vantaux masquant 4 tiroirs à l'anglaise en cadrés de colonnes détachées à double balustre, ornée de bronzes dorés, d'une rosace, de frises de palmettes, d'un cygne aux ailes déployées a atteint 40 000 euros.
Une pendule dite «à l'autel de Vénus» d'époque Louis XVI (hauteur 36 cm) sur un socle en marbre blanc ovale monté en bronze doré posé sur un pot à feu abritant un mécanisme à mouvement tournant flanqué de part et d'autre de Vénus et d'un Amour ailé tenant une colombe a été enlevée pour 36 000 euros.
Une pendule d'époque Directoire en bronze ciselé, patiné noir et doré représentant Robinson Crusoe tenant une ombrelle de sa fabrication et un fusil et recueillant Vendredi près d'un manguier sur lequel est posé un perroquet a atteint 60 000 euros.
Une table de salle à manger d'époque Restauration en acajou se présentant sous la forme d'un grand guéridon (diamètre 182 cm) a été vendue pour 60 000 euros.
Le 12 juin, le groupe PIASA a vendu pour 9 000 euros une paire de bougeoirs en argent (hauteur 13 cm) du XVIIIe siècle à décor d'armoiries sur une estimation de 600 euros. Un panneau rectangulaire (91 x 73 cm) en tapisserie dite « moquette » de la fin du XVIIIe siècle représentant une nature morte au vase céladon monté de bronze à côté d'une cornemuse, d'une mappemonde et d'un livre ouvert sur un entablement a été vendu pour 14 000 euros et une collection de 60 tire-bouchons a été emportée pour 15 500 euros.
Une commode d'époque Transition estampillée de François Rubestuck à ressaut de petite taille (largeur 92 cm) en placage de bois indigène à décor dans des réserves bordées de filets d'attributs de la musique et de bouquets de fleurs, ouvrant à 5 tiroirs sur trois rangs a atteint 27 000 euros.
L'étude Boisgirard a obtenu 15 000 euros pour une huile sur toile d'Ernst Stuven représentant un bouquet de fleurs sur un entablement (59 x 47 cm). Une huile sur toile marouflée sur panneau de Camille Corot titrée « La Gardeuse d'oies » (19,5 x 30,5 cm) a été vendue pour 24 000 euros.
L'étude Binoche a vendu pour 440 000 euros un dessin au fusain et pierre noire de Picasso intitulé « La Lecture » et daté de 1925 (51 x 40,5 cm) sur une estimation haute de 150 000 euros.
Une huile sur toile de Claude Monet titrée «La Chapelle de Notre-Dame de Grâce, Honfleur» (52 x 68 cm) a été vendue pour 360 000 euros.
Une statuette funéraire de type « Baby Face » (hauteur 32,5 cm) en céramique brun-gris à surface brillante de la culture olmèque datant d'entre 1150-650 avant J.C. a recueilli une enchère de 11 000 euros tandis qu'un masque funéraire en serpentine (hauteur 12,5 cm) de la culture du Teotihuacan datant d'entre 450 et 650 a été adjugé pour 42 000 euros.
A l'hôtel George V, le groupe Tajan a obtenu 710 000 euros pour une huile sur toile de Paul Signac intitulée « Les Andelys, le château Gaillard » (65 x 92 cm datée de 1921). Un bronze de Rembrandt Bugatti représentant deux léopards, mâle en tête (hauteur 32,8, longueur 110 cm) a atteint 445 000 euros et un autre, montrant un cerf chinois et une biche caressant un faon (hauteur 40 cm) du même artiste, a été vendu pour 325 000 euros.
Une toile de Raoul Dufy représentant le port de Caudebec (60 x 73 cm) a été poussée jusqu'à 197 000 euros. Une toile de Kees Van Dongen de 1904 intitulée « Les Chevaux » (46 x 55 cm) a atteint 170 000 eurostout comme une table carcasse, petit modèle à la chauve-souris, épreuve en bronze à patine verte (hauteur 44 cm avec une dalle de verre de 128 x 83 cm) de Diego Giacometti.
Une toile de Vlaminck datée de 1925 et montrant une scène de neige à Epiais (81 x 100 cm) a séduit un amateur pour 142 000 euros et une gouache de Fernand Léger de 1950 titrée « Femme au Vase » (38 x 40,5 cm) a recueilli une enchère de 102 000 euros sur une estimation de 70 000 euros.
L'étude Rieuner a obtenu 13 000 euros pour une armure allemande d'officier de gens de pied vers 1610-1620, l'une à bourguignotte fermée, à visière et à grille avec jambières et solerets. Une autre, à bourguignotte fermée à visière et au timbre cannelé a atteint 10 000 euros.
A Drouot-Montaigne, l'étude Cornette de Saint-Cyr a vendu pour 9 000 euros deux fauteuils modèle « Copacabana » de Mathieu Mategot en métal et tôle perforée noire, le piétement arrière formé par une seule ellipse en métal et enregistré une enchère similaire pour une table « Domino » composée de deux parties indépendantes en L à trois pieds, l'une noire et l'autre blanche du même créateur.
Un lustre de Serge Mouille à trois bras, le plus long (170 cm) monté sur une rotule étant mobile, l'ensemble en métal noir, l'intérieur des déflecteurs en laqué blanc a été vendu pour 40 000 euros.
Le 13 juin, le groupe PIASA a vendu pour 35 000 euros le portrait de René de Gas, par son frère Edgar Degas (8,6 x 7,2 cm) au verni mou réalisé vers 1861-62. Du même artiste, « La Sortie du bain » (12,8 x 12,9 cm), une pointe sèche et aquatinte vers 1879 a atteint 19 500 euros.
Une gravure sur bois de Paul Gauguin titrée « L'Univers est créé » (20,5 x 35,5 cm) a été enlevée pour 35 000 euros et deux bois gravés du même artiste, «Manao Tupapau» (20,5 x 35,8 cm) de 1893 et « Femme cueillant des fruits et Oviri » (10,5 x 90 cm) de 1897 ont respectivement été échangées pour 20 000 euros. Un « Nu au miroir marocain » (21,7 x 15,3 cm), une eau-forte de 1929 par Henri Matisse a atteint 18 000 euros. Un nu au fauteuil sur fond moucharabieh, une lithographie de 1925, encore par Matisse, a été adjugé pour 16 500 euros.
Une pointe-sèche de Picasso représentant une tête de femme de profil (29,2 x 25 cm) de 1905 a doublé son estimation pour atteindre 21 200 euros. Une aquatinte de Pissarro, « Effet de pluie » de 1879 (15,9 x 21,3 cm) a été emportée pour 14 500 euros et « Repos du dimanche dans les bois » (17,6 x 28,9 cm), une pointe-sèche et aquatinte a recueilli 15 500 euros alors qu'une autographie à la plume vers 1874, « Femme assise au bord d'un étang » (26 x 25 cm) a été vendue pour 24 000 euros.
Une lithographie de Paul Signac représentant Saint-Tropez, le port (43,5 x 33 cm) a atteint 18 500 euros sur une estimation de 10 000 euros.
A l'Espace Pierre Cardin, l'étude Ruellan a vendu une gouache sur papier de Fernand Léger titrée « Les Baigneuses » (63,5 x 51 cm ; vers 1952) pour 61 000 euros.
Une huile sur toile de Pierre-Eugène Montézin titrée « L'Entrée du Village » (61 x 73 cm) a recueilli 23 000 euros et « Les Nymphéas », une autre huile de cet artiste (75 x 72 cm) a culminé à 32 000 euros sur une estimation de 12 000 euros. Une photographie originale de Constantin Brancusi de sa sculpture « La Négresse blanche », un tirage argentique inscrit au dos « B.15 rectifié en 17 » a été vendue pour 8 700 euros et une gouache sur lithographie de Salvador Dali titrée « La Table d'Emeraude » (80 x 60 cm) a atteint 13 500 euros.
Le 14 juin, en dehors du record de prix établi pour Sonia Delaunay, l'étude Calmels a vendu pour 27 000 euros le « Serpent amphisbène noir » (39,8 x 49 cm), une gouache et aquarelle de l'artiste autrichien Aloys Zütl (1803-1887) datée de 1848.
Une œuvre à l'encre d'Otto Wols vers 1940 a atteint 32 000 euros et un fusain sur toile de Nicolas de Staël montrant un nu couché (106 x 149 cm) vers 1954, a été vendu pour 82 000 euros. Une aquarelle, encre et crayons de couleurs de Marc Chagall montrant une femme au bouquet, cheval et violon (16,5 x 11,8 cm) a été enlevée pour 28 000 euros tandis qu'une encre, aquarelle et gouache de Jean Hélion titrée « L'Escalier » (23 x 24 cm) a atteint 17 000 euros. Une composition à l'huile sur toile (81,5 x 102 cm) de 1961 par Roberto Matta a doublé son estimation pour atteindre 30 000 euros et une sérigraphie unique de Warhol, « Electric Chair » (45,7 x 58,4 cm) a séduit un amateur pour 29 000 euros.
Le groupe Massol a obtenu 85 000 euros pour une huile sur toile d'Henri Le Sidaner titrée « Le bec de Gaz, nuit bleue à Venise » de 1906 (65 x 80 cm). Une huile sur toile de Jean-Marie Jacomin (1789-1858) titrée « La Classe de peinture des Beaux-Arts à l'école de Dijon » (100 x 126,5 cm) a atteint 15 000 euros.
Autres résultats : 21 000 euros pour une glace en bois (hauteur 198 cm, largeur 145 cm) d'Italie du Nord du début du XVIIIe siècle sculptée de feuillages, de feuilles de chêne et de fleurs stylisées.
23 500 euros, estimation triplée, pour une paire de globes (diamètre 40 cm) de parquet céleste (Sentaid in the catalogue of Piazzi Bralley, 1830) et terrestre (Table of the Estimated population of the world for latest authorities) par Malby à Londres.
16 000 euros une commode en prunier d'époque Louis XV à double galbe, ouvrant à trois tiroirs à médaillon central et moulurée.
24 000 euros un bureau plat en acajou à pieds gaines d'époque Louis XVI estampillé de Pierre Roussel.
24 000 euros une tapisserie des Flandres du XVIIe siècle (335 x 400 cm) à décor d'un sous-bois peuplé d'oiseaux et traversé par une rivière avec en perspective un village et son clocher.
L'étude Buffetaud a vendu pour 12 000 euros une gouache et mine de plomb abstraite de Léopold Survage datée de 1915 (42,5 x 62 cm), au double de son estimation basse. Une huile sur panneau du peintre suisse Ernest Biéler (1863-1948) titrée « Carton pour le Victoria Hall » (78 x 66 cm) a été adjugée pour 24 000 euros sur une estimation de 1 800 euros.
Une composition à l'huile d'Auguste Herbin réalisée en 1925 (60 x 92 cm) a recueilli une enchère de 42 000 euros. Une enchère similaire a été enregistrée pour le portrait présumé de Natalia Gontcharova (39 x 29,5 cm) par Michel Larionov.
Le 17 juin, l'étude Rieuner a vendu pour 3 100 000 euros, un record mondial, une amphore en terre cuite de type du vase lustré de l'Alhambra de Grenade, coulée en relief et émaillée, Andalousie, art hispano-mauresque du XIVe siècle.