Les ventes en province ont damé le pion à celles organisées à Paris grâce à l'enchère mirobolante de 4,4 millions d'euros enregistrée à Cheverny pour un portrait de George Washington (124 x 102 cm) peint par Charles Wilson Peale en 1782. Cette toile provenait de l'ancienne collection du maréchal de Rochambeau et a été achetée par le marchand new-yorkais Thomas Colville.Le 3 juin à Tours, un pastel de Camille Pissarro représentant Louis Estruc (38 x 46,3 cm) a été adjugé pour 67 000 euros et un autre, représentant la nièce de l'artiste, Eugènie Estruc dite « Nini » daté de 1876 (33 x 24 cm) a recueilli 60 000 euros.
Une huile sur panneau de Dunouy intitulée « Le tombeau de J.J Rousseau à Ermenonville » datée de 1785 (50 x 65 cm) a atteint 26 000 euros.
A Lyon, un vase en dinanderie de cuivre par Claudius Linossier (hauteur 30 cm) a été vendu pour 21 500 euros sur une estimation de 14 000 euros et un ameublement de salle à manger par André Sornay constitué de neuf chaises en spruce patiné noir, d'une table à plateau rectangulaire (90 x 157 cm, hauteur 75 cm) et d'une enfilade à corps quadrangulaire ouvrant par deux portes (hauteur 100 cm, 202 de largeur et 46 cm de profondeur) a été adjugé pour 50 500 euros.
Une affiche de Théophile-Alexandre Steinlen titrée « La Tournée du Chat Noir » 1896 (141 x 99 cm) a été vendue pour 10 000 euros. Une enchère similaire a été enregistré pour un dessin aux trois crayons de Helleu représentant une mère et ses enfants (38 x 55 cm). Toujours à Lyon, l'étude Rambert a vendu pour 65 000 euros un buste de vieil homme tenant un rosaire par Mauro Gandolfi (1764-1834) sur toile (44,5 x 55 cm)
Le 5 juin, une écritoire en Deruta ou Italie centrale de la première moitié du XVIIe siècle (hauteur 33,5 cm) représentant un cavalier et un personnage a atteint 23 000 euros. Une toile de l'école flamande vers 1600 représentant le jugement dernier (suiveur de Jacob de Backer) (117 x 177 cm) a été vendue pour 11 000 euros.
A Vichy le 6 juin, un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume fait à Paris en 1862 (756 mm) a été vendu pour 141 000 euros, un record mondial, sur une estimation de 100 000 euros.
Le 7 juin à Aix-les-Bains, un dessin de Balthus intitulé « Etude pour le Salon de 1941 » (49 x 63,5 cm) a été vendu pour 39 000 euros et une vue de Venise (67 x 83 cm) par Ziem a culminé à 43 000 euros.
Une commode du XVIIIe siècle à deux rangées de tiroirs, à décor de marqueterie de cubes estampillée G.H Lutz a séduit un amateur pour 26 000 euros.
Le 8 juin à Besançon, une gouache d'Eugène Galien-Laloue représentant le Boulevard et la Porte Saint-Denis sous la neige (38 x 54 cm) a atteint 39 000 euros et une pointe sèche de Icart représentant une ballerine réajustant son chausson a été vendue pour 9 300 euros.
A Lille, un portrait d'homme au haut de forme, une toile de Rémy Cogghe (46 x 39 cm) a recueilli 31 000 euros.
A Soissons, un pastel de Delphin Enjolras titré « Elégante près du feu » (43 x 35 cm) a atteint 6 950 euros. Un bronze de Carpeaux, « Le Rieur Napolitain », une fonte ancienne avec le cachet de la propriété Carpeaux (hauteur 53 cm) a été vendu pour 8 300 euros. Une sculpture en bronze de Malissard représentant un étalon ardennais, fonte de la Fonderie nationale des bronzes à Saint Gilles, Bruxelles datée de 1909 (longueur 54 cm) a été adjugée pour 9 000 euros.
Les ventes en province ont damé le pion à celles organisées à Paris grâce à l'enchère mirobolante de 4,4 millions d'euros enregistrée à Cheverny pour un portrait de George Washington (124 x 102 cm) peint par Charles Wilson Peale en 1782. Cette toile provenait de l'ancienne collection du maréchal de Rochambeau et a été achetée par le marchand new-yorkais Thomas Colville.Le 3 juin à Tours, un pastel de Camille Pissarro représentant Louis Estruc (38 x 46,3 cm) a été adjugé pour 67 000 euros et un autre, représentant la nièce de l'artiste, Eugènie Estruc dite « Nini » daté de 1876 (33 x 24 cm) a recueilli 60 000 euros.
Une huile sur panneau de Dunouy intitulée « Le tombeau de J.J Rousseau à Ermenonville » datée de 1785 (50 x 65 cm) a atteint 26 000 euros.
A Lyon, un vase en dinanderie de cuivre par Claudius Linossier (hauteur 30 cm) a été vendu pour 21 500 euros sur une estimation de 14 000 euros et un ameublement de salle à manger par André Sornay constitué de neuf chaises en spruce patiné noir, d'une table à plateau rectangulaire (90 x 157 cm, hauteur 75 cm) et d'une enfilade à corps quadrangulaire ouvrant par deux portes (hauteur 100 cm, 202 de largeur et 46 cm de profondeur) a été adjugé pour 50 500 euros.
Une affiche de Théophile-Alexandre Steinlen titrée « La Tournée du Chat Noir » 1896 (141 x 99 cm) a été vendue pour 10 000 euros. Une enchère similaire a été enregistré pour un dessin aux trois crayons de Helleu représentant une mère et ses enfants (38 x 55 cm). Toujours à Lyon, l'étude Rambert a vendu pour 65 000 euros un buste de vieil homme tenant un rosaire par Mauro Gandolfi (1764-1834) sur toile (44,5 x 55 cm)
Le 5 juin, une écritoire en Deruta ou Italie centrale de la première moitié du XVIIe siècle (hauteur 33,5 cm) représentant un cavalier et un personnage a atteint 23 000 euros. Une toile de l'école flamande vers 1600 représentant le jugement dernier (suiveur de Jacob de Backer) (117 x 177 cm) a été vendue pour 11 000 euros.
A Vichy le 6 juin, un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume fait à Paris en 1862 (756 mm) a été vendu pour 141 000 euros, un record mondial, sur une estimation de 100 000 euros.
Le 7 juin à Aix-les-Bains, un dessin de Balthus intitulé « Etude pour le Salon de 1941 » (49 x 63,5 cm) a été vendu pour 39 000 euros et une vue de Venise (67 x 83 cm) par Ziem a culminé à 43 000 euros.
Une commode du XVIIIe siècle à deux rangées de tiroirs, à décor de marqueterie de cubes estampillée G.H Lutz a séduit un amateur pour 26 000 euros.
Le 8 juin à Besançon, une gouache d'Eugène Galien-Laloue représentant le Boulevard et la Porte Saint-Denis sous la neige (38 x 54 cm) a atteint 39 000 euros et une pointe sèche de Icart représentant une ballerine réajustant son chausson a été vendue pour 9 300 euros.
A Lille, un portrait d'homme au haut de forme, une toile de Rémy Cogghe (46 x 39 cm) a recueilli 31 000 euros.
A Soissons, un pastel de Delphin Enjolras titré « Elégante près du feu » (43 x 35 cm) a atteint 6 950 euros. Un bronze de Carpeaux, « Le Rieur Napolitain », une fonte ancienne avec le cachet de la propriété Carpeaux (hauteur 53 cm) a été vendu pour 8 300 euros. Une sculpture en bronze de Malissard représentant un étalon ardennais, fonte de la Fonderie nationale des bronzes à Saint Gilles, Bruxelles datée de 1909 (longueur 54 cm) a été adjugée pour 9 000 euros.
A Toulon, une Sainte Famille et saint Jean-Baptiste, une toile attribuée à Alessandro Tiarini (136 x 98,5 cm) a été adjugée pour 42 000 euros. Une nature morte de fleurs et de fruits sur la terrasse d'un palais classique, une toile de l'école romaine vers 1700 (123 x 172 cm) de l'entourage de Pietro Navarra a été enlevée pour 29 600 euros.
Un groupe en bronze intitulé « Chasse kabyle » par Arthur Waagen a culminé à 10 000 euros. Une toile de Cuno Amiet représentant un lac de montagne datée de 1932 (45 x 61 cm) a été vendue pour 32 000 euros.
Le 9 juin à Cheverny, en dehors du prix record enregistré pour le portrait de Washington, l'étude Rouillac a vendu pour 312 000 euros une commode à léger ressaut central, à trois rangs de tiroirs en placage de satiné et d'amarante, marqueté en fil, la rangée supérieure décorée d'une frise d'entrelacs et de bronze doré, entourée de feuillages avec un dessus en marbre blanc, estampillée de J.H Riesener, époque Louis XVI (hauteur 94 cm, largeur 152 cm et profondeur de 62 cm). Cette commode provenait d'un château de l'Orléanais et était similaire à un modèle destiné au cabinet de Marie-Antoinette à Compiègne.
Une toile de l'artiste japonais Takanari Oguiss représentant Goussainville (60 x 73 cm) a séduit un amateur pour 50 000 euros. Un vitrail de Jacques Gruber intitulé « L'Oiseau de paradis » en quatre panneaux (130 x 220 cm) a été enlevé pour 32 000 euros. Un tableau horloge dans un encadrement de style XVIIIe siècle, la pendule signée de Tharin, Paris, milieu du XIXe siècle, a atteint 24 000 euros.