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207 titres
Ventes à Paris: bons résultats pour la peinture et l'orfèvrerie
20 Avril 2002



Cet article se compose de 4 pages.
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Le 3 avril, l'étude Le Mouel a vendu pour 12 000 euros une toile de Francisque Poulbot (1879-1946) peinte vers 1920 intitulée « Le Quadrille d'enfants» (65 x 81 cm) alors qu'une toile de Léon Rousseau (1829-1881) intitulée "Massif de fleurs et oiseaux dans un jardin parisien " (232 x 152,5 cm) a été adjugée pour
50 000 euros, très au dessus de son estimation.

Un bronze d'Antoine Louis Barye représentant « Thésée combattant le minotaure » (hauteur 45 cm), une fonte de Barbedienne, a atteint 13 000 euros alors qu'un ours (hauteur 47 cm) en bronze à la cire perdue, patine noire, de Georges Guyot (1885-1973), pièce unique fondue par Susse Frères, a été adjugé pour
46 000 euros et qu'une lionne marchant (longueur 49 cm) de Pero Palazzolo, bronze à la cire perdue à patine noire, fonte Hébrard, a séduit un amateur pour 20 200 euros.

Un coffret, allemand ou hollandais, de la première moitié du XVIIe siècle marqueté sur fond d'écaille brune, ivoire teinté et bois indigène dans des réserves feuillagés d'oiseaux, papillons insectes et branchages fleuris, ouvrant à un tiroir latéral et reposant sur des pieds en ivoire tourné a triplé son estimation en atteignant 23 000 euros.

L'étude Delorme a enregistré une enchère de 39 000 euros sur un bracelet souple de Sterlé ponctué de six motifs pavés de diamants enserrant alternativement une ligne de 45 saphirs taillés en baguette.

Une timbale (124 g. hauteur 9,5 cm) de forme tulipe à piédouche et doucine godronnée, présentant sur fond amati des motifs lambrequins alternés avec de longues feuilles, aux poinçons présumés de Loches vers 1740 et d'un autre attribué au maître orfèvre François Fabry (Tours ?) a atteint 7 200 euros malgré son origine mal déterminée.

Une théière ronde en argent, le bec à volutes terminé d'une tête d'oiseau, l'anse en bois sculpté de rinceaux, branches fleuries et d'une nègre de négrillon portant collier et boucle d'oreille, poinçon du maître orfèvre Pierre-Louis Du Floo, reçu en 1720 (Bergues 1754) (hauteur 21,2 cm, poids 930 g.) a été vendue pour 49 000 euros.

Un sucrier du maître orfèvre Jean-Louis Dieudonné Outrebon, reçu maître en 1772, de forme ovale, en cristal bleu taillé tout comme le couvercle, enserré dans une monture à anses en argent ciselé et repercé de guirlandes de chêne, feuilles d'acanthe et écussons aveugles retenus par des nœuds de ruban, le tout reposant sur quatre pieds sabots disposé sur un plateau ovale à contours et moulures à filets d'oves, le marli gravé de deux cartouches a été vendu pour 14 500 euros tandis qu'une paire de flambeaux (Paris 1750) d'Alexis Loir(reçu en 1733), le pied rond à contours et à doucines et groges ceinturées de filets agrafés de panaches feuillagés, l'ombilic ciselé de cannelures torses et vagues surmonté d'un fût tronconique à pans, alternativement unis à décor de pilastres et à l'amortissement de coquilles rocailles, les bobèches poinçonnées Paris 1749 attribuées à Antoine Bailly (reçu en 1748) a atteint 33 000 euros.

Une aiguière (25,8 cm de hauteur, poids 1280 g) de Louis II Samson (reçu en 1731), Toulouse 1770, de forme balustre à piédouche et anse, ciselée de côtes et cannelures torses, la panse ornée en relief de guirlandes de fleurs et de deux cartouches aveugles en cabochon surmontés d'une couronne comtale, les extrémités du bec et du couvercle formant une tête de dauphin, a séduit un acheteur pour 43 000 euros.

Des mouchettes et porte-mouchettes (440 g), Rennes 1712-1722 (les mouchettes) et 1723-1724 (pour le plateau portant un poinçon attribué à Eloi Le Tailleur, prévôt en 1712, garde poinçon en 1732), gravées aux armes de la famille Bégasson de Bretagne ont recueilli 40 000 euros. Une paire de vases à piédouche et anses (hauteur 24 cm, poids 1525 g.) de Jean Baptiste Loir, reçu en 1689, Paris 1701, de forme balustre à corps cintré ciselé de cannelures entre deux renflements bombés à décor de godrons ou losanges fleuronnés a atteint 37 500 euros. Une boîte à épices ou poivrier, Morlaix 1702/1704 de François II Duval de forme cylindrique (hauteur 13 cm) reposant sur une base rayonnante à godrons, le couvercle repercé surmonté d'un fretelet figurant un bouton oblong sur une terrasse godronnée, gravée aux armes de la famille de la Marque (Béarn, Bretagne) a causé une surprise en atteignant
25 000 euros.

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