A Pau, un fauteuil de bureau en bois courbé thermoformé en bois tourné vernissé, façon acajou, le dossier gondole légèrement incurvé et relevé en partie centrale, aux manchettes plates galbées formant attaches de barreaux verticaux (hauteur 75 cm, largeur 53 cm) de la fabrique Jacob et Joseph Kohn et Josef Hoffmann a été vendue pour 6050 euros.
Le 24 mars, une huile sur toile de l'entourage de Georges de La Tour intitulée « Madeleine Pénitente » (70,5 x 58 cm) a atteint 40 000 euros à Aurillac.
A Lyon, une console en acajou et placage d'acajou ouvrant à un tiroir en ceinture et deux portes latérales, estampillée Mauter, époque Louis XVI a été vendue pour 27 000 euros alors qu'une huile sur toile (61 x 74 cm) de Paul Sérusier intitulée « Personnage au clair de lune » a atteint 42 500 euros.
Un petit bureau de forme mouvementée en bois de placage marqueté en ailes de papillons, à décor de filets de bois clair, estampillé Pierre Roussel, époque Louis XV a été adjugé pour 38 000 euros.
Une esquisse (40 x 60 cm) pour « L'Enfant prodigue » de Pierre Puvis de Chavannes a été enlevée pour 26 500 euros et une huile de Mai Thu intitulée « Les Amandiers » 1942 (89 x 53 cm) a recueilli 20 500 euros.
A Douai, une huile sur papier (33 x 47,5 cm) de Paul Gauguin, redécouverte récemment et intitulée « Le Pont Roulant » datant de 1876 a été adjugée pour 69 000 euros.
A Evreux, une garniture en faïence de Delft du milieu du XVIIIe siècle composée de trois vases couverts et de deux vases cornets, décor en camaïeu bleu de branches fleuries a été vendue pour 18 200 euros.
A Reims, une affiche de Mucha pour le champagne Heidsieck Monopole a été vendue pour 15 400 euros tandis qu'à Rouen, une console en bois relaqué et sculpté de masques, de lambrequins, de croisillons à rosaces, pieds sculptés d'espagnolettes aux angles terminés par des sabots feuillagés, au plateau en marbre, d'époque Louis XIV (82 x 146 x 70 cm) a été adjugée pour 39 100 euros.
A Senlis, une huile sur toile par Henri Langerock intitulée « Rue à Rio de Janeiro » vers 1880 a été adjugée pour 42 000 euros alors qu'une aquarelle de Fabius Brest intitulée "Promenade en caïque devant l'ambassade de France à Constantinople" (23,9 x 42,4 cm) a été vendue pour 20 000 euros.
Le 16 mars à Morlaix, une carte postale représentant un enterrement au village a été adjugée pour 1100 euros en raison de sa grande rareté.
Le 17 mars à Brive-la-Gaillarde, vingt lettres d'Hector Berlioz adressées entre 1864 à 1867 à Estelle Fornier dont il tomba amoureux à l'âge de douze ans avant qu'il ne devinsse musicien ont été adjugées pour 180 000 euros.
Estelle s'était mariée à un magistrat grenoblois et en 1864, Berlioz revit cette dernière qui était veuve depuis 19 ans. Il la demanda en mariage mais elle refusa en lui répondant qu'il était des illusions, des rêves qu'il fallait abandonner lorsque les cheveux étaient blancs.
Une édition originale des mémoires de Berlioz (Paris, 1865), exemplaire corrigé et dédicacé à Estelle Fornier a atteint de son côté 24 000 euros.
A la salle de vente de Le Soler, une gravure sur bois de Paul Gauguin, intitulé « Calvaire Breton », exécutée à Pont-Aven entre 1893 et 1894 a été vendue pour 18 000 euros, mille euros de plus qu'une toile signée de Gaston Latouche représentant une promenade au parc de Saint-Cloud.
Le 18 mars, une huile sur toile (38 x 46 cm) du peintre espagnol José Herrerillo Cruz-Herrera (1890-1972) intitulée « Après la danse, Alger » a été vendue pour 9 000 euros.
A Nice le 20 mars, une bague ornée d'un brillant solitaire de 13,5 ct, montée en platine sertie griffe et flanquée de brillants baguettes, a atteint 60 000 euros. Lors de cette vente étalée sur deux jours les 19 et 20 mars, une toile de Théo Tobiasse intitulée « Notre-Dame dans un taureau » (45 x 54 cm) a été vendue pour 9 000 euros.
Le 23 mars à Lille un dessin à la mine de plomb (24 x 31 cm) par Henri Matisse représentant un nu allongé vers 1930 a suscité une enchère de 38 000 euros. Une huile sur bois (24 x 33 cm) d'Edouard Cortès intitulée « Paris, le soir » a été vendue pour 22 000 euros et une autre, également sur panneau, représentant le boulevard de la Madeleine (24 x 33 cm) a atteint 20 000 euros.
Une toile de Simon Hantaï, « Sans Titre » (105 x 158 cm) de 1951 a été enlevée pour 23 000 euros et une composition en bleu et noir datée de septembre 1963 (100 x 73 cm) par André Masson a recueilli 25 000 euros.
A Pau, un fauteuil de bureau en bois courbé thermoformé en bois tourné vernissé, façon acajou, le dossier gondole légèrement incurvé et relevé en partie centrale, aux manchettes plates galbées formant attaches de barreaux verticaux (hauteur 75 cm, largeur 53 cm) de la fabrique Jacob et Joseph Kohn et Josef Hoffmann a été vendue pour 6050 euros.
Le 24 mars, une huile sur toile de l'entourage de Georges de La Tour intitulée « Madeleine Pénitente » (70,5 x 58 cm) a atteint 40 000 euros à Aurillac.
A Lyon, une console en acajou et placage d'acajou ouvrant à un tiroir en ceinture et deux portes latérales, estampillée Mauter, époque Louis XVI a été vendue pour 27 000 euros alors qu'une huile sur toile (61 x 74 cm) de Paul Sérusier intitulée « Personnage au clair de lune » a atteint 42 500 euros.
Un petit bureau de forme mouvementée en bois de placage marqueté en ailes de papillons, à décor de filets de bois clair, estampillé Pierre Roussel, époque Louis XV a été adjugé pour 38 000 euros.
Une esquisse (40 x 60 cm) pour « L'Enfant prodigue » de Pierre Puvis de Chavannes a été enlevée pour 26 500 euros et une huile de Mai Thu intitulée « Les Amandiers » 1942 (89 x 53 cm) a recueilli 20 500 euros.
A Douai, une huile sur papier (33 x 47,5 cm) de Paul Gauguin, redécouverte récemment et intitulée « Le Pont Roulant » datant de 1876 a été adjugée pour 69 000 euros.
A Evreux, une garniture en faïence de Delft du milieu du XVIIIe siècle composée de trois vases couverts et de deux vases cornets, décor en camaïeu bleu de branches fleuries a été vendue pour 18 200 euros.
A Reims, une affiche de Mucha pour le champagne Heidsieck Monopole a été vendue pour 15 400 euros tandis qu'à Rouen, une console en bois relaqué et sculpté de masques, de lambrequins, de croisillons à rosaces, pieds sculptés d'espagnolettes aux angles terminés par des sabots feuillagés, au plateau en marbre, d'époque Louis XIV (82 x 146 x 70 cm) a été adjugée pour 39 100 euros.
A Senlis, une huile sur toile par Henri Langerock intitulée « Rue à Rio de Janeiro » vers 1880 a été adjugée pour 42 000 euros alors qu'une aquarelle de Fabius Brest intitulée "Promenade en caïque devant l'ambassade de France à Constantinople" (23,9 x 42,4 cm) a été vendue pour 20 000 euros.