Comme à l'accoutumée, la FIAC a tiré son
épingle du jeu grâce aux ventes d'oeuvres d'artistes consacrés dès son
ouverture au Grand Palais le 22 octobre.
La galerie Michael Werner a ainsi cédé une
oeuvre de Markus Lüpertz pour près d'un million d'euros et d'autres de
Baselitz, A.R Penck ou Picabia à des prix conséquents. La galerie Thaddaeus
Ropac a vendu 5 bronzes de Baselitz pour 750 000 euros la pièce, deux grandes oeuvres
de Robert Longo au fusain montrant une radiographie de Mona Lisa et une forêt
pour 500 000 euros chacune, deux huiles de Yan Pei-Ming, un portrait de Picasso
jeune et un tigre, pour 200 00 euros l'unité ainsi qu'une sculpture d'Anthony
Gormley pour 375 000 euros.
La galerie Skartedt a vite cédé une peinture
de George Condo pour 500 000 euros, un Thomas Scütte pour 200 000 et un tableau
de clous de Gunther Uecker pour 1,8 million de dollars tandis que la galerie
Nahmad a exposé un portrait de jeune fille à la chemise rayée de Modigliani
pour une somme non dévoilée.
La galerie Max Hetzler a enregistré des
ventes auprès d'amateurs français et étrangers en cédant notamment un Günther
Forg pour 185 000 euros, une pièce murale d'Edmund de Waal pour 80 000 euros
ainsi qu'une toile de Jeff Elrod pour 70 000 euros sans oublier une peinture
d'Albert Oehlen pour un prix resté confidentiel.
Parmi les artistes recherchés et vendus, il
convient de citer Anish Kapoor, Opie, Mona Hatoum, le Porto-Ricain Angel Otero
(entre 80 000 et 135 000 euros chez Lehmann Maupin), Alex Prager, Kader Attia,
Hernan Bas, George Condo (un portrait de femme vendu 500 000 euros par Sprüth
Magers), Sterling Ruby, Louis Lawler, Mike Kelley, John de Andrea ou Maurizio
Cattelan. Rien que des noms connus sur le marché qui ont constitué les chevaux de bataille des galeristes et attiré des amateurs
pas trop désireux de miser sur d'autres en devenir.
Comme à l'accoutumée, la FIAC a tiré son
épingle du jeu grâce aux ventes d'oeuvres d'artistes consacrés dès son
ouverture au Grand Palais le 22 octobre.
La galerie Michael Werner a ainsi cédé une
oeuvre de Markus Lüpertz pour près d'un million d'euros et d'autres de
Baselitz, A.R Penck ou Picabia à des prix conséquents. La galerie Thaddaeus
Ropac a vendu 5 bronzes de Baselitz pour 750 000 euros la pièce, deux grandes oeuvres
de Robert Longo au fusain montrant une radiographie de Mona Lisa et une forêt
pour 500 000 euros chacune, deux huiles de Yan Pei-Ming, un portrait de Picasso
jeune et un tigre, pour 200 00 euros l'unité ainsi qu'une sculpture d'Anthony
Gormley pour 375 000 euros.
La galerie Skartedt a vite cédé une peinture
de George Condo pour 500 000 euros, un Thomas Scütte pour 200 000 et un tableau
de clous de Gunther Uecker pour 1,8 million de dollars tandis que la galerie
Nahmad a exposé un portrait de jeune fille à la chemise rayée de Modigliani
pour une somme non dévoilée.
La galerie Max Hetzler a enregistré des
ventes auprès d'amateurs français et étrangers en cédant notamment un Günther
Forg pour 185 000 euros, une pièce murale d'Edmund de Waal pour 80 000 euros
ainsi qu'une toile de Jeff Elrod pour 70 000 euros sans oublier une peinture
d'Albert Oehlen pour un prix resté confidentiel.
Parmi les artistes recherchés et vendus, il
convient de citer Anish Kapoor, Opie, Mona Hatoum, le Porto-Ricain Angel Otero
(entre 80 000 et 135 000 euros chez Lehmann Maupin), Alex Prager, Kader Attia,
Hernan Bas, George Condo (un portrait de femme vendu 500 000 euros par Sprüth
Magers), Sterling Ruby, Louis Lawler, Mike Kelley, John de Andrea ou Maurizio
Cattelan. Rien que des noms connus sur le marché qui ont constitué les chevaux de bataille des galeristes et attiré des amateurs
pas trop désireux de miser sur d'autres en devenir.
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