L'année 2016 a très mal démarré avec une inquiétante
crise boursière due aux mauvais résultats économiques de la Chine, ce qui
risquera d'avoir de sérieuses répercussions sur le marché de l'art.
A cet égard, les chiffres ont parlé d'eux-mêmes
puisqu'on a constaté un repli général des indices boursiers dans l'ensemble de
la planète. En France, le CAC 40 n'a pas cessé de perdre du terrain et seules
les actions d'Air France, de Faurecia et de Gemalto ont augmenté respectivement
de 4,47%, 14,78% et 1,25% à la date du 20 janvier alors que celles de Vallourec
et de CGG ont chuté de 44,87% et 36,37 %
tandis que CGG, DBV Technologies, Solvay, Natixis, Renault, Crédit Agricole, Peugeot
BNP Paribas ou Société Générale ont subi des baisses comprises entre 32,33% et
17,96%.
Cette situation est donc devenue inquiétante
tant pour l'économie mondiale que pour le marché de l'art quand on sait que les
résultats des ventes d'oeuvres en Chine a chuté de 12% en 2015 et qu'il risque
de subir une tendance baissière au vu d'une progression économique chinoise qui
a été la plus mauvaise depuis 25 ans.
Résultat: de nombreux gros entrepreneurs ont
laissé des plumes sur les marchés boursiers depuis un mois alors que le FMI a
craint de nouveaux désordres monétaires pour 2016.
L'année 2016 a très mal démarré avec une inquiétante
crise boursière due aux mauvais résultats économiques de la Chine, ce qui
risquera d'avoir de sérieuses répercussions sur le marché de l'art.
A cet égard, les chiffres ont parlé d'eux-mêmes
puisqu'on a constaté un repli général des indices boursiers dans l'ensemble de
la planète. En France, le CAC 40 n'a pas cessé de perdre du terrain et seules
les actions d'Air France, de Faurecia et de Gemalto ont augmenté respectivement
de 4,47%, 14,78% et 1,25% à la date du 20 janvier alors que celles de Vallourec
et de CGG ont chuté de 44,87% et 36,37 %
tandis que CGG, DBV Technologies, Solvay, Natixis, Renault, Crédit Agricole, Peugeot
BNP Paribas ou Société Générale ont subi des baisses comprises entre 32,33% et
17,96%.
Cette situation est donc devenue inquiétante
tant pour l'économie mondiale que pour le marché de l'art quand on sait que les
résultats des ventes d'oeuvres en Chine a chuté de 12% en 2015 et qu'il risque
de subir une tendance baissière au vu d'une progression économique chinoise qui
a été la plus mauvaise depuis 25 ans.
Résultat: de nombreux gros entrepreneurs ont
laissé des plumes sur les marchés boursiers depuis un mois alors que le FMI a
craint de nouveaux désordres monétaires pour 2016.