« L'art et la vie ne faisant qu'un, c'est dans la recherche de la poésie de tous les jours, à base d'objets manufacturés ou de structures existantes, que je peux déterminer ma poétique » (Jean-Pierre Raynaud)
Les musées occidentaux ont pour la
plupart subi des baisses de fréquentation
durant l'année 2016 en raison des menaces terroristes qui ont dissuadé
un grand nombre de touristes de voyager à l'étranger.
Le Louvre n'a enregistré que 7,4
millions de visiteurs contre 8,6 millions en 2015, celui d'Orsay en a perdu 400
000 pour n'atteindre que 3 millions alors que Centre Pompidou s'en est mieux sorti avec 3,3 millions d'entrées contre 3,25 l'année précédente.
En Belgique, les Musées royaux des
beaux-arts ont subi une baisse de 279 000 visiteurs pour n'enregistrer qu'un
total de 497 000 alors qu'en Espagne, un pays épargné par le terrorisme, le
Musée Reina Sofia a enregistré 3,6 millions de visiteurs contre 3,2 millions en
2015 et celui du Prado a dépassé la barre des 3 millions pour la première fois
depuis 2012.
Les institutions privées ont semblé
épargnées par la crise ambiante puisque le musée Soumaya du milliardaire Carlos
Slim à Mexico a attiré 2,2 millions de visiteurs tandis que la Fondation Louis
Vuitton à Paris et le musée Eli et Edith Broad aux Etats-Unis ont enregistré
respectivement 1,2 million et 753,000 entrées.
Seuls les musées qui ont fait preuve
d'inventivité en organisant des expositions séduisantes, comme celle de la
collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton, ont pu tirer leur épingle du
jeu, notamment le Whitney Museum qui a attiré 4,000 visiteurs par jour à chacune
de ses manifestations mettant en scène des artistes contemporains en vogue.
Fait nouveau, les expositions
consacrées à des femmes artistes ont eu particulièrement la cote, notamment au Musée Guggenheim
de Bilbao avec Louis Bourgeois, au Louisiania Museum de Copenhague avec
l'artiste japonaise Yayoi Kusama, à l'Institut Tomie Ohtake de Sao Paulo avec
Frida Kahlo ou mieux encore, avec les sculptures de l'Australienne Patricia
Piccinini présentées simultanément au CCBB de cette ville et à Brasilia.
Les musées occidentaux ont pour la
plupart subi des baisses de fréquentation
durant l'année 2016 en raison des menaces terroristes qui ont dissuadé
un grand nombre de touristes de voyager à l'étranger.
Le Louvre n'a enregistré que 7,4
millions de visiteurs contre 8,6 millions en 2015, celui d'Orsay en a perdu 400
000 pour n'atteindre que 3 millions alors que Centre Pompidou s'en est mieux sorti avec 3,3 millions d'entrées contre 3,25 l'année précédente.
En Belgique, les Musées royaux des
beaux-arts ont subi une baisse de 279 000 visiteurs pour n'enregistrer qu'un
total de 497 000 alors qu'en Espagne, un pays épargné par le terrorisme, le
Musée Reina Sofia a enregistré 3,6 millions de visiteurs contre 3,2 millions en
2015 et celui du Prado a dépassé la barre des 3 millions pour la première fois
depuis 2012.
Les institutions privées ont semblé
épargnées par la crise ambiante puisque le musée Soumaya du milliardaire Carlos
Slim à Mexico a attiré 2,2 millions de visiteurs tandis que la Fondation Louis
Vuitton à Paris et le musée Eli et Edith Broad aux Etats-Unis ont enregistré
respectivement 1,2 million et 753,000 entrées.
Seuls les musées qui ont fait preuve
d'inventivité en organisant des expositions séduisantes, comme celle de la
collection Chtchoukine à la Fondation Louis Vuitton, ont pu tirer leur épingle du
jeu, notamment le Whitney Museum qui a attiré 4,000 visiteurs par jour à chacune
de ses manifestations mettant en scène des artistes contemporains en vogue.
Fait nouveau, les expositions
consacrées à des femmes artistes ont eu particulièrement la cote, notamment au Musée Guggenheim
de Bilbao avec Louis Bourgeois, au Louisiania Museum de Copenhague avec
l'artiste japonaise Yayoi Kusama, à l'Institut Tomie Ohtake de Sao Paulo avec
Frida Kahlo ou mieux encore, avec les sculptures de l'Australienne Patricia
Piccinini présentées simultanément au CCBB de cette ville et à Brasilia.