Banane flambée, crème brûlée ou fouettée, oeufs battus en neige, etc... L'alimentation devrait porter plainte pour maltraitance de la part des humains (AD)
Suite à l'annonce du
remaniement ministériel du 16 octobre, FranckRiester a été nommé au poste de ministre de la Culture en remplacement
de Françoise Nyssen, donnée partante depuis plusieurs semaines.
Remplacée par un
homme politique, l'action de cette dernière avait été souvent critiquée pour
son manque d'implication dans plusieurs dossiers tandis que le nouveau ministre
devra s'atteler à refonder son ministère en s'entourant de collaborateurs
avisés.
Né le 3 janvier 1974
à Paris, Franck Riester est un député issu du parti des Républicains et ancien maire de Coulommiers. Diplômé de l'ESSEC,
celui-ci a débuté sa carrière professionnelle au sein d'un grand groupe d'audit
avant de se consacrer au développement de l'entreprise familiale fondée par son
grand-père et de diriger plusieurs concessions automobiles Peugeot.
Premier cadre de la
droite à révéler son homosexualité en 2011, Franck Riester avait été élu en
1995 au conseil municipal de Coulommiers puis été devenu adjoint au maire en
2001 et vice-président de la communauté des communes de la Brie des Templiers
puis président en 2013 après avoir été élu maire de cette ville en 2008, un an
après son élection au poste de député de l'UMP qu'il conserva en 2012 puis en
2017 sous l'étiquette des Républicains, parti dont il fut exclu le 31 octobre
2017 en raisons de ses critiques sur sa direction.
Sur les questions culturelles,
il remit, le 3 octobre 2011 au ministère de la Culture un rapport sur la « création musicale et
diversité à l'ère numérique » préconisant la création d'un Centre national
de la musique pour notamment rationaliser les dispositifs d'aides existants. En
2015, il prit notamment position en faveur d'un rassemblement des sociétés de
l'audiovisuel public en un groupe unique et fut désigné membre de la
Commission ad hoc de réflexion et de propositions sur le droit
et les libertés à l'ère numérique installée par le Président de l'assemblée
nationale entre juin 2014 et octobre 2015.
A l'inverse de Françoise
Nyssen, le nouveau ministre est un politique qui connaît déjà bien le secteur
de l'audiovisuel. Reste à savoir quelles seront ses orientations sur les
questions du patrimoine et des monuments historiques alors que la culture a un
besoin urgent d'être diffusée à un plus grand nombre, notamment dans les écoles
où l'histoire de l'art demeure peu enseignée.
Suite à l'annonce du
remaniement ministériel du 16 octobre, FranckRiester a été nommé au poste de ministre de la Culture en remplacement
de Françoise Nyssen, donnée partante depuis plusieurs semaines.
Remplacée par un
homme politique, l'action de cette dernière avait été souvent critiquée pour
son manque d'implication dans plusieurs dossiers tandis que le nouveau ministre
devra s'atteler à refonder son ministère en s'entourant de collaborateurs
avisés.
Né le 3 janvier 1974
à Paris, Franck Riester est un député issu du parti des Républicains et ancien maire de Coulommiers. Diplômé de l'ESSEC,
celui-ci a débuté sa carrière professionnelle au sein d'un grand groupe d'audit
avant de se consacrer au développement de l'entreprise familiale fondée par son
grand-père et de diriger plusieurs concessions automobiles Peugeot.
Premier cadre de la
droite à révéler son homosexualité en 2011, Franck Riester avait été élu en
1995 au conseil municipal de Coulommiers puis été devenu adjoint au maire en
2001 et vice-président de la communauté des communes de la Brie des Templiers
puis président en 2013 après avoir été élu maire de cette ville en 2008, un an
après son élection au poste de député de l'UMP qu'il conserva en 2012 puis en
2017 sous l'étiquette des Républicains, parti dont il fut exclu le 31 octobre
2017 en raisons de ses critiques sur sa direction.
Sur les questions culturelles,
il remit, le 3 octobre 2011 au ministère de la Culture un rapport sur la « création musicale et
diversité à l'ère numérique » préconisant la création d'un Centre national
de la musique pour notamment rationaliser les dispositifs d'aides existants. En
2015, il prit notamment position en faveur d'un rassemblement des sociétés de
l'audiovisuel public en un groupe unique et fut désigné membre de la
Commission ad hoc de réflexion et de propositions sur le droit
et les libertés à l'ère numérique installée par le Président de l'assemblée
nationale entre juin 2014 et octobre 2015.
A l'inverse de Françoise
Nyssen, le nouveau ministre est un politique qui connaît déjà bien le secteur
de l'audiovisuel. Reste à savoir quelles seront ses orientations sur les
questions du patrimoine et des monuments historiques alors que la culture a un
besoin urgent d'être diffusée à un plus grand nombre, notamment dans les écoles
où l'histoire de l'art demeure peu enseignée.