«C'est un acte culturel», a expliqué Shuji Shimokoji, consul du Japon à Vancouver, après avoir battu sa femme le 16 février 1999. Huit jours plus tard, le premier ministre japonais a déclaré devant la chambre des députés que les traditions de son pays n'autorisaient pas un homme à battre son épouse. Ce dernier n'a pas dit s'il avait décidé de saquer son consul…