Rien ne prouve que les hommes de la préhistoire avaient des voix caverneuses...Rien ne dit que l'homme d'aujourd'hui a une voix qui compte et pour cause, on reste souvent sans voix...
Sotheby's a enregistré le 26 juin à Londres une enchère de 10,12 millions de livres sterling (109,29 millions FF) pour un tableau Claude Monet représentant des meules.
Ce tableau, issu d'une série sur les meules, avait été estimé 50 millions de francs avant cette vente et était resté totalement inédit sur le marché depuis plus d'un siècle. Il aurait été acquis par l'armateur israélien Samy Ofer contre David Norman et le marchand Nahmad de Londres. Cette enchère dépasse de loin le score de 12 millions de dollars (environ 92 millions FF) enregistré le 11 mai 1999 chez Sotheby's à New York pour un autre tableau de cette série de quinze.
«Au Parc Monceau», un autre tableau de Monet dont le propriétaire avait convenu de partager le produit de la vente avec les descendants de son ancien propriétaire, un Juif spolié par les nazis, a quant à lui atteint 4 millions de livres (43 millions FF).
Les acheteurs se sont malgré tout montrés une nouvelle fois sélectifs dans leurs choix. Ainsi un fragment de toile peinte par Van Gogh en 1888, «Eglogue en Provence- un couple d'amoureux» a atteint 2,86 millions de livres ( 30,8 millions FF) alors qu'une «Femme au Chapeau de Paille», un portrait un peu fade de Dora Maar par Picasso, a atteint un prix similaire.
Belle tenue des Fauves avec une enchère record de 4,73 millions de livres ( 51 millions FF) pour «Péniche sur la Seine» de Vlaminck chez Christie's alors qu'on a enregistré 1,43 million de livres (15,4 millions FF) pour «Gensenker Kopf», une œuvre de 1919 d'Alexej Von Jawlensky. «Le Guéridon» de Juan Gris daté 1914 a été vendu pour la somme faramineuse de 4,4 millions de livres (47,5 millions FF) et «Die Grüne», Brücke 1909 de Lyonel Feininger a atteint 2,42 millions de livres (26,1 millions FF).
Sotheby's a enregistré le 26 juin à Londres une enchère de 10,12 millions de livres sterling (109,29 millions FF) pour un tableau Claude Monet représentant des meules.
Ce tableau, issu d'une série sur les meules, avait été estimé 50 millions de francs avant cette vente et était resté totalement inédit sur le marché depuis plus d'un siècle. Il aurait été acquis par l'armateur israélien Samy Ofer contre David Norman et le marchand Nahmad de Londres. Cette enchère dépasse de loin le score de 12 millions de dollars (environ 92 millions FF) enregistré le 11 mai 1999 chez Sotheby's à New York pour un autre tableau de cette série de quinze.
«Au Parc Monceau», un autre tableau de Monet dont le propriétaire avait convenu de partager le produit de la vente avec les descendants de son ancien propriétaire, un Juif spolié par les nazis, a quant à lui atteint 4 millions de livres (43 millions FF).
Les acheteurs se sont malgré tout montrés une nouvelle fois sélectifs dans leurs choix. Ainsi un fragment de toile peinte par Van Gogh en 1888, «Eglogue en Provence- un couple d'amoureux» a atteint 2,86 millions de livres ( 30,8 millions FF) alors qu'une «Femme au Chapeau de Paille», un portrait un peu fade de Dora Maar par Picasso, a atteint un prix similaire.
Belle tenue des Fauves avec une enchère record de 4,73 millions de livres ( 51 millions FF) pour «Péniche sur la Seine» de Vlaminck chez Christie's alors qu'on a enregistré 1,43 million de livres (15,4 millions FF) pour «Gensenker Kopf», une œuvre de 1919 d'Alexej Von Jawlensky. «Le Guéridon» de Juan Gris daté 1914 a été vendu pour la somme faramineuse de 4,4 millions de livres (47,5 millions FF) et «Die Grüne», Brücke 1909 de Lyonel Feininger a atteint 2,42 millions de livres (26,1 millions FF).