Pratiquement tout le gratin des marchands et des collectionneurs du marché de l'art était présent au dîner d'inauguration de la Biennale des Antiquaires le 19 septembre 2002 au Carrousel du Louvre.
On a pu y voir Mme Chirac, M. et Mme Bernard Arnault, François Pinault, Hubert de Givenchy, Mme Randolph Hearst, Jacques Perrin, Philippine de Rothschild, Pierre Cardin, Pierre Bergé, la princesse Gloria Thurn und Taxis, Mme Akkram Ojjeh, le duc de Lugo, Laurent Fabius et bien d'autres personnalités.
Certains des invités ont regretté l'exiguïté du lieu et son décor un peu froid mais les stands avaient de quoi faire taire les critiques grâce aux pièces exposées comme sur ceux de Haboldt, Steinitz ou de Neuse.
Certes, le niveau de cette Biennale reste excellent mais ne flirte pas avec l'extraordinaire hormis quelques exceptions comme un grand bureau à cylindre de l'ébéniste espagnol José Campos réalisé en 1770 pour le roi Carlos III ( proposé à un million d'euros par la Galerie Lupu) ou un cabinet allemand exécuté vers 1630 avec des panneaux de marqueteries de pierres dures de Florence offert à 3,2 millions d'euros par Giovanni et Claire Sarti ou un « Hommage à Puvis » par Seurat chez Anisabelle Bérès.
Pour le reste, les amateurs sont un peu restés sur leur faim, plutôt peu enthousiasmés par le portrait d'un homme barbu à la veste rouge par Rembrandt présenté par la galerie Noortman à un prix dépassant les 15 millions de dollars, même si ici et là, ils ont pu admirer quelques pièces admirables dans certains stands, comme une magnifique statue de Vierge en majesté romane de la région d'Issoire en Auvergne chez Bresset, des enluminures superbement conservées chez Sam Fogg et les Clavreuil, des objets en or de la Chine ancienne à la galerie Christian Deydier, de merveilleuses tapisseries du XVe ou du XVIe siècle à la Galerie Blondeel et à la Galerie Chevalier, une statuette Mende du Sierra Leone chez Ratton-Hourdé, une console Rocaille à la Galerie Didier Aaron et des biscuits du XVIIIe siècle attribués à Gaspero Bruschi et représentant les Quatre Saisons chez Lefebvre et Fils ainsi que quelques sublimes tableaux modernes chez Krugier. Bref, on a vu mieux au cours des éditions précédentes.
Pratiquement tout le gratin des marchands et des collectionneurs du marché de l'art était présent au dîner d'inauguration de la Biennale des Antiquaires le 19 septembre 2002 au Carrousel du Louvre.
On a pu y voir Mme Chirac, M. et Mme Bernard Arnault, François Pinault, Hubert de Givenchy, Mme Randolph Hearst, Jacques Perrin, Philippine de Rothschild, Pierre Cardin, Pierre Bergé, la princesse Gloria Thurn und Taxis, Mme Akkram Ojjeh, le duc de Lugo, Laurent Fabius et bien d'autres personnalités.
Certains des invités ont regretté l'exiguïté du lieu et son décor un peu froid mais les stands avaient de quoi faire taire les critiques grâce aux pièces exposées comme sur ceux de Haboldt, Steinitz ou de Neuse.
Certes, le niveau de cette Biennale reste excellent mais ne flirte pas avec l'extraordinaire hormis quelques exceptions comme un grand bureau à cylindre de l'ébéniste espagnol José Campos réalisé en 1770 pour le roi Carlos III ( proposé à un million d'euros par la Galerie Lupu) ou un cabinet allemand exécuté vers 1630 avec des panneaux de marqueteries de pierres dures de Florence offert à 3,2 millions d'euros par Giovanni et Claire Sarti ou un « Hommage à Puvis » par Seurat chez Anisabelle Bérès.
Pour le reste, les amateurs sont un peu restés sur leur faim, plutôt peu enthousiasmés par le portrait d'un homme barbu à la veste rouge par Rembrandt présenté par la galerie Noortman à un prix dépassant les 15 millions de dollars, même si ici et là, ils ont pu admirer quelques pièces admirables dans certains stands, comme une magnifique statue de Vierge en majesté romane de la région d'Issoire en Auvergne chez Bresset, des enluminures superbement conservées chez Sam Fogg et les Clavreuil, des objets en or de la Chine ancienne à la galerie Christian Deydier, de merveilleuses tapisseries du XVe ou du XVIe siècle à la Galerie Blondeel et à la Galerie Chevalier, une statuette Mende du Sierra Leone chez Ratton-Hourdé, une console Rocaille à la Galerie Didier Aaron et des biscuits du XVIIIe siècle attribués à Gaspero Bruschi et représentant les Quatre Saisons chez Lefebvre et Fils ainsi que quelques sublimes tableaux modernes chez Krugier. Bref, on a vu mieux au cours des éditions précédentes.