Le 24 novembre à Lyon, une sculpture de Camille Claudel titrée « L'Abandon », bronze fondu par Eugène Blot, numéroté 6 a atteint 175 000 euros. A Cherbourg, un cabinet XVIIe à la façade en placage et marqueterie d'os et d'écaille rouge, à décor de scènes de chasse, combats, personnages et volatiles ouvrant à onze tiroirs et une porte rehaussée de bronze a été vendu pour 18 000 euros tandis qu'une huile d'Henri Gervex titrée « Femme à l'éventail » (46 x 38 cm) a atteint 21 000 euros.
A Chambéry le 25 novembre, un vase aux éléphants par Emile Gallé (Hauteur 38 cm) a été emporté pour 15 000 euros.
A Brest , le manuscrit autographe d'Alain intitulé « Les Dieux », l'un des plus importants de cet auteur, daté de 1933 a culminé à 39 000 euros.
Le 27 novembre à Angers, une Nativité de Pierre Le Maire (Vers 1612-1688) (152 x 120 cm) a été vendue pour 6 100 euros.
Le 28 novembre, une huile de Bernard Buffet titrée « Pot de Bégonias » 1977 (65 x 50 cm) a été cédée pour 28 500 euros. Une toile attribuée à Jérôme Martin Langlois (1779-1838) titrée « Apelle et Campsape » (114 x 142 cm) a été vendue pour 29 300 euros et une commode galbée du début du XVIIIe siècle en placage de bois de rose, dessus de marbre brèche a été enlevée pour 22 500 euros.
Le 29 novembre à Moulins, le livre intitulé « Choix des plus belles fleurs et des plus beaux fruits » par P.J Redouté composé de 141 planches a été adjugé pour 52 000 euros. Une enchère similaire a été prononcée pour « Dissertation sur la génération et les transformations des insectes du Surinam… » par Marua Sybilla Merian, la Haye 1726.
A Menton, une huile sur toile de Lauréano Barrau titrée « jeune rameur » (100 x 130 cm) a atteint 22 200 euros.
A Poitiers, un ouvrage intitulé Anatomie des parties génitales de l'homme et de la femme, d'exposition des organes de la femme et de l'homme, et des maladies vénériennes par Jacques-Fabien Gauthier-Dagoty a été vendu pour 14 010 euros.
A Valence, un pastel de Pierre Deval intitulé « Le Chapeau de Paille » (68 x 48 cm) a été adjugé pour 15 000 euros et un bouquet de fleurs, panneau (46 x 38 cm) de Willy Eisenchitz a été cédé pour 10 000 euros.
Le 1er décembre à Barbizon, une huile sur panneau de Charles F. Daubigny titrée « Arc-en-ciel à Corbigny » (1862, 22 x 35 cm) a été vendue pour 12 500 euros et une huile sur panneau de De Penne titrée « relais de chiens » (24 x 33 cm) a été adjugée pour 11 500 euros.
A Epernay, une pendule en bronze ciselé et patiné à décor d'un couple romantique avec un chien, porté sur une litière par deux noirs, époque Restauration (Hauteur 47 cm) a été cédée pour 20 100 euros.
A Dijon, un panneau de l'école florentine vers 1580, suiveur de Francesco Salviati (58 x 50,5 cm) représentant le Christ et un apôtre a été vendu pour 10 800 euros.
A Joigny, un guéridon « serviteur muet » à deux plateaux en acajou, ceinture en bronze doré, formé par six colonnes réunies par une entrejambe en acajou du début du XIXe siècle a été vendu pour 168 100 euros. Une petite table à écrire Louis XVI en marqueterie, estampillée de Loose, ouvrant à un tiroir formant écritoire a été adjugée pour 30 100 euros.
A Lyon, une table à gibier à plateau rectangulaire en bois finement sculpté, mouluré, ajouré et doré (83 x 146 x 75 cm) d'époque Régence avec un plateau en marbre brèche a été vendu pour 86 000 euros. Un pastel de Pierre Carrier-Belleuse titré « La partie de cartes » 1905 (120 x 170 cm) a atteint
26 000 euros, une toile d'André Lhote intitulée « Modèle dans l'atelier » (72 x 50 cm) vers 1935 a culminé à 26 000 euros et une huile sur panneau d'Albert Marquet représentant la place du marché à Ghardaia vers 1921 (33 x 41 cm) a été cédée pour 42 000 euros.
A Rouen, une nature morte au journal, à la bouteille et à la tasse de Vlaminck vers 1920 (46 x 55 cm) a été emportée pour 127 000 euros. Une huile de Pierre Dumont titrée « Le port de Rouen » vers 1905 (31 x 35 cm) a atteint 11 200 euros et une huile de Henri de Saint Delis, « L'Ile de France à quai » (65 x 81 cm) a été enlevée pour 23 000 euros.
A Troyes, une paire de pistolets du système Pauly vers 1825, les platines dites à coffre en acier avec traces de bronzage à 60%, les canons octogonaux jaspés, « acier tordu », légèrement tromblonnés basculant grâce à un poussoir à ressort, calibre 13 mm, longueur 38 cm dans un coffret type « Marine » a atteint 21 000 euros.