Il n'y avait pas beaucoup d'artistes réputés pour peindre des ballerines au XIXe siècle. En fait, en cherchant bien il n'y avait pratiquement que Degas…
A Cannes, un grand plat en céramique par André Metthey à décor géométrique de feuillages stylisés, émaux bleus, vert rehaussés d'or (diamètre 58 cm) a été cédé pour 4 000 euros.
Le 13 novembre à Toulouse, une paire de toiles de A. Carelli montrant l'une une vue de Naples et l'autre une vue de la campagne napolitaine (1855, 19 x 29 cm) a été vendue pour 30 900 euros. Un grand pichet en faïence à décor polychrome de grand feu et couvercle d'étain représentant un oriental, travail de Rouen XVIIIe siècle (hauteur 41 cm) a été vendu pour 19 500 euros tandis qu'une femme à la girafe, sculpture en céramique bleue et verte (hauteur 40 cm) par René Buthaud a été adjugée pour 8 000 euros.
Le 16 novembre au Mans, une grande bibliothèque en acajou, travail anglais vers 1840 (hauteur 309 cm, longueur 354 cm, profondeur 51,5 cm) a suscité l'enchère surprise de 375 000 euros. Un portrait de la reine Hortense, atelier du baron Gros (65 x 54 cm) a été cédé pour 30 000 euros.
A Vitry-le-François, une huile sur toile d'André Camassei (1601-1648) titrée « Saint Pierre baptiste, saint Processus et Martianus » (78,5 x 51,5 cm) a été adjugée pour 23 000 euros. Une huile sur panneau d'Achille Laugé titrée « Voilier et barque à Collioure » (53 x 72 cm) a atteint 16 000 euros.
A Nice, une huile sur toile d'Elodie de la Villette titrée « Marine avec un voilier » (seconde moitié du XIXe siècle, 125 x 200 cm) a été adjugée pour 16 200 euros.
A Poitiers, une vue présumée de Cincinnati à l'aquarelle et à la gouache (27 x 44 cm) par Adrien Persac (1823-1873) a été vendue pour 9 200 euros. Un bronze à trois patines par Louis-Ernest Barrias titré « La Nature se dévoilant devant la Science » (hauteur 59 cm) a été disputé jusqu'à 11 900 euros et une huile rentoilé de Camille Corot titrée « Cavalier en chemin » vers 1845-1850 (24 x 14 cm) a atteint 12 000 euros.
A Toulouse, une salle à manger 1900 en noyer, six chaises, une table, une armoire et un buffet, a été adjugée pour 41 000 euros. Un bureau à cylindre en acajou estampillé Schey, époque Louis XVI a été vendu pour 18 000 euros, une paire de consoles en partie Louis XV en bois doré a été cédée pour 14 500 euros, une commode en marqueterie estampillée Lapie d'époque Transition a été disputée jusqu'à 8 000 euros et un bouchon de radiateur « Pintade » par René Lalique a été vendu pour 6 000 euros.
A Dijon, une tête de vieille homme en bronze patiné (hauteur 18 cm) non signé par Camille Claudel, étude pour "l'âge mûr" a été adjugée pour 15 000 euros et un portrait de jeune fille au buste rose attribué à Jacques André Aved (40 x 31 cm) a été acquis pour 12 000 euros.
Le 17 novembre à Fontainebleau, une plaque de Grand Aigle de la légion d'honneur de manteau ou de cape, étoile à cinq branches, à dix pointes anglées sur cinq rayons, brodée de cannetilles et de paillettes, le centre à l'aigle rapporté en argent estampé ciselé et découpé, avec la devise « honneur et patrie », rameaux de feuilles de laurier en exergue en fil d'argent, en bon état (diamètre 18 cm) qui proviendrait de Sainte Hélène a été vendue pour 70 000 euros.
Un bâton de maréchal de France de Louis-Auguste Victor de Bourmont, comte de Ghalanes (1830) a été emporté pour 64 000 euros. Un fauteuil provenant du mobilier de l'Empereur à Sainte-Hélène a recueilli une enchère de 51 000 euros, une paire de pistolets à silex, canons à rayures chevaux, aux attributs militaires poinçonnés P C a été vendue pour 60 000 euros et un vase en porcelaine de Sèvres, offert en cadeau à l'occasion du Jour de l'An 1814 par Napoléon à la duchesse de Montebello, à tête de Jupiter et décor polychrome d'une scène pastorale a atteint 48 000 euros.
Un dessin aquarellé et gouaché montrant Napoléon 1er à cheval d'après Carle Vernet a atteint 42 000 euros et un buste en terre cuite de l'Empereur par Joseph Chinard (1810, hauteur 65 cm) a été cédé pour 24 000 euros.
Une chemise de Napoléon 1er en batiste marquée P C a été acquise pour 36 000 euros. Un gant de cavalerie de l'Empereur donné en 1809 à Fontainebleau par le mameluk Roustan a été adjugé pour 33 000 euros.
Une cape de cérémonie de Pair de France en velours de soie bleu a été vendue pour 26 000 euros. Deux clefs en fer forgé de la casbah d'Alger ont atteint 14 000 euros, un bijou de grand-croix de l'ordre de la Légion d'honneur d'époque Restauration a receuilli une enchère de 21 000 euros et un paravent à huit feuilles en bois plaqué à décor de chinoiseries peintes en or et en argent de la fin du XVIIIe siècle a été cédé pour 27 000 euros.
A Châlons-en-Champagne, une huile sur toile d'André Lanskoy titrée « Les trahisons du miroir » (83 x 54 cm) a recueilli une enchère de 12 200 euros.
A Soissons, une huile sur panneau de Charles Olivier de Penne titrée « L'Irlandais et ses setters » (32 x 41,5 cm) a atteint 8 000 euros et une sculpture de Moigniez représentant un basset debout, bronze à patine brun clair nuancé, fonte ancienne, a été adjugée pour 7 500 euros.
A Mâcon, un meuble d'apothicaire en chêne vers 1900 a été vendu pour 14 500 euros.
Le 7 novembre à Châteauroux, une statuette chryséléphantine par P. Philippe représentant une danseuse russe (Hauteur 60 cm) a été adjugée pour 13 000 euros.
Le 9 novembre à Besançon, une huile sur panneau de Jacques Ralli titrée « Jeune femme vénérant une icône dans une église orthodoxe » (35,5 x 27 cm) a été adjugée pour 42 000 euros.
A Chartres, une salle d'attente de gare de tramways Märklin portant la publicité de la maison Pellé Sœur Lyon avec une fontaine intérieure et possibilité d'éclairage à la bougie (29 x 18 cm, hauteur 23 cm) a culminé à 30 000 euros sur une estimation maximale de 8 000 euros.
Un lampadaire électrique à quatre éclairages, base en fonte peinte façon bois (hauteur 47 cm) de la marque Märklin a été cédé pour 17 000 euros. Une locomotive électrique Märklin 22O électrique FE3022, écartement 11 (longueur 62 cm) a été vendue pour 13 000 euros.
Le 10 novembre à Calais, une huile sur toile de Maurice Savin intitulée « L'Eté, 1929 » (130 x 195 cm) a été vendue pour 18 000 euros. Une huile sur toile d'Albert Lebourg titrée « les Bords du lac de Genève sous la neige » (61 x 80 cm) a atteint 26 000 euros. Une huile sur toile de Gen Paul datée de 1925 et titrée « Paris, Montmartre, la rue Lepic » (61 x 80 cm) a été cédée pour 17 500 euros.
Une gouache de Maurice Utrillo montrant une rue de Sannois (28 x 36 cm) a recueilli une enchère de 26 500 euros et un vase de fleurs et nature morte (53 x 65 cm) par Charles Camoin a atteint 15 000 euros. Un portrait de jeune fille au foulard rouge à l'aquarelle par Marie Laurencin (25 x 29 cm) a été cédée pour 21 000 euros.
Un paysage près de la Crouze de Chambord sur panneau (60 x 73 cm) par Victor Charreton a été vendu pour 16 000 euros, une vue sur la vallée (65 x 92 cm) par René Seyssaud a atteint 10 000 euros alors qu'une sculpture en bronze de Constantin Cristeco représentant deux chevaux sautant une barrière, fonte Susse Frères vers 1900 (Hauteur 38 cm) a été acquise pour 7 500 euros.
Une toile de Charreton titrée « L'Allée des rhododendrons » (65 x 92 cm) a été enlevée pour 22 500 euros. Une huile sur panneau titrée « L'Ombrelle » (33 x 24 cm) par J.G Domergue a été vendue pour 9 500 euros. Une huile sur toile d'André Hambourg intitulée « Marée basse sur la plage de Trouville » (54 x 65 cm) a atteint 20 000 euros.
Une peinture sur soie par Maï-Thu titrée « La Belle endormie » (1938, 66 x 55 cm) a été acquise pour 18 500 euros et une peinture à l'acrylique par Charles Lapicque titrée « Avant l'orage » 1978 (60 x 73 cm) a culminé à 16 000 euros.
Une huile sur panneau de Jean Lambert-Rucki titrée «Personnages dans la ville » (43 x 32 cm) a atteint 15 000 euros et une huile sur toile de J.G Domergue titrée « Elégante au bibi de plumes roses et bleues » (65 x 54 cm) a été cédée pour 10 900 euros.
A Deauville, une commode galbée en placage de bois de violette marqueté dans des triples encadrements, quatre tiroirs sur trois rangs, traverse à cannelure foncée de cuivre, montants et pieds légèrement cambrés, ornementation de bronzes ciselés et dorés, à décor aux chutes de sabots, culs de lampe et poignées et de feuillages, estampillée F.G d'époque Régence (Hauteur 84 cm, largeur 131 cm, profondeur 63 cm) a recueilli une enchère de 33 000 euros et une épreuve en bronze à patine verte par A-L Barye titrée « Cheval à l'arrêt » (hauteur 32 cm) a été adjugée pour 8 100 euros
A Metz, une huile sur toile de Romain Etienne Gabriel Prieur (1806-1879) représentant un berger et son troupeau dans la campagne romaine en 1845 (147 x 196 cm) a été vendue pour 36 000 euros. Une paire de fauteuils en bois sculpté, mouluré et laqué, dossier « à la reine » portant l'estampille de J.B Sené d'époque Louis XVI ont atteint 22 100 euros.
A Château-Thierry, une huile sur toile de Léon-Augustin Lhermitte titrée « Rue haute à Mont-Saint-Père » (39 x 31 cm) a atteint 7 000 euros.
A Granville, une huile sur toile d'Eugène Feyen titrée « les Pêcheurs d'huîtres à Cancale » (61 x 107 cm) a atteint 25 000 euros. Une pendule au matelot en bronze doré et bronze patiné au cadran marqué « Gérard, Paris » a été vendue pour 12 600 euros. Un tableau de G. Hudson représentant un portrait de jeune indien (35 x 26 cm) a atteint 3 800 euros tandis qu'une huile d'Albert Lebourg titrée « Jeune femme nue à sa toilette se coiffant » (58 x 31 cm) a été cédée pour 14 800 euros.
A Châtellerault, lors d'une vente de céramiques de la collection Chavaillon, deux chevrettes « Brocca » formant pendant, le déversoir en forme de tête de dragon à décor polychrome de deux bustes, féminin sur l'un, masculin sur l'autre avec des inscriptions gothiques « Orsini-Colonna » marquant la réconciliation de deux familles romaines longtemps rivales (hauteur 26 et 25 cm) vers 1515-1540 ont été adjugées pour 120 000 euros en faveur du musée de Castelli en Italie.
Une gourde de Rouen à panse aplatie, décor polychrome dans l'esprit de la Renaissance italienne, atelier de Masseot Abaquesne vers 1545 a été adjugée au prix record de 110 000 euros. Une rare chevrette à décor « alla porcellana » de rinceaux et feuillages stylisés en camaïeu bleu vers 1510 a été cédée pour 36 000 euros, un prix similaire atteint pour un pot en castelli de la première moitié du XVIe siècle à décor d'une licorne cabrée tandis qu'un grand vase bouteille en castelli à décor d'un homme nu a été cédé pour 55 000 euros. Un autre vase à décor de saint Nicolas, également en castelli, a été acquis pour 64 000 euros et un albarello en faïence de Sienne à décor polychrome d'armoiries et de cornes d'abondance a atteint 30 000 euros.
Une chevrette en faïence de Valence à décor de feuilles de vigne a été vendue pour 16 000 euros, deux piluliers en faïence de Venise à décor de feuillages de l'atelier de Mastro Domenigo ont atteint 22 000 euros et une Vierge à l'Enfant en terre vernissée de Saintonge de la fin du XVIe siècle ou du début du XVIIe a été emportée pour 39 000 euros.
Une paire de grands pots à pharmacie de Nevers en camaïeu bleu à décor de scènes de la comédie italienne a été vendue pour 25 000 euros et une gourde de pèlerin, également en Nevers, à décor de saint Jean a été cédée pour 11 000 euros tandis qu'un saladier de Nevers à décor de bâtisseurs d'un pont vers 1800 a atteint le prix record de 38 000 euros.
Une assiette à décor polychrome de saint Louis avec l'inscription « Louis de Lavande », 1775, a été adjugée pour 8 200 euros sur une estimation de 1 000 euros et un saladier montrant un pont sur la Loire surmontée de saint Antoine avec des hommes occupés à un halage a été acquis à même hauteur malgré des accidents. Enfin, un saladier de Nevers à décor polychrome du pont de Nevers avec l'inscription « François Fraise 1785 » a été emporté pour 17 000 euros tandis qu'un saladier avec un décor représentant la prise de Mantoue en 1805 a été cédé pour 8 500 euros et qu'un rare saladier représentant le pont de Nevers marqué « Jacques Cherot fils 1793 » a culminé à 37 000 euros malgré le fait qu'il était fracturé.
Le 11 novembre à Bayeux, une huile sur toile de l'artiste allemand Gottfried Wals dit Goffredo Tedesco (1590 ?-1638) représentant un paysage de la campagne romaine a atteint 80 000 euros sur une estimation de 40 000 euros. Une huile sur panneau par Eduardo Leon Garrido titrée « Elégante à l'éventail » (63 x 47 cm) a été adjugée pour 31 000 euros, une huile de Jean Puy représentant une femme nue à la lecture (67 x 64 cm) a été poussée jusqu'à 7 900 euros et une huile de Grau Sala titrée « Les Danseuses, 1939 » (42 x 34 cm) a été emportée pour 14 000 euros.
Le 12 novembre à Nantes, une maquette de bateau représentant le vaisseau de premier rang « Le Foudroyant » (1724-1740) qui ne navigua jamais réalisée vers 1880 à Brest a été adjugée pour 26 000 euros.
A Cannes, un grand plat en céramique par André Metthey à décor géométrique de feuillages stylisés, émaux bleus, vert rehaussés d'or (diamètre 58 cm) a été cédé pour 4 000 euros.
Le 13 novembre à Toulouse, une paire de toiles de A. Carelli montrant l'une une vue de Naples et l'autre une vue de la campagne napolitaine (1855, 19 x 29 cm) a été vendue pour 30 900 euros. Un grand pichet en faïence à décor polychrome de grand feu et couvercle d'étain représentant un oriental, travail de Rouen XVIIIe siècle (hauteur 41 cm) a été vendu pour 19 500 euros tandis qu'une femme à la girafe, sculpture en céramique bleue et verte (hauteur 40 cm) par René Buthaud a été adjugée pour 8 000 euros.
Le 16 novembre au Mans, une grande bibliothèque en acajou, travail anglais vers 1840 (hauteur 309 cm, longueur 354 cm, profondeur 51,5 cm) a suscité l'enchère surprise de 375 000 euros. Un portrait de la reine Hortense, atelier du baron Gros (65 x 54 cm) a été cédé pour 30 000 euros.
A Vitry-le-François, une huile sur toile d'André Camassei (1601-1648) titrée « Saint Pierre baptiste, saint Processus et Martianus » (78,5 x 51,5 cm) a été adjugée pour 23 000 euros. Une huile sur panneau d'Achille Laugé titrée « Voilier et barque à Collioure » (53 x 72 cm) a atteint 16 000 euros.
A Nice, une huile sur toile d'Elodie de la Villette titrée « Marine avec un voilier » (seconde moitié du XIXe siècle, 125 x 200 cm) a été adjugée pour 16 200 euros.
A Poitiers, une vue présumée de Cincinnati à l'aquarelle et à la gouache (27 x 44 cm) par Adrien Persac (1823-1873) a été vendue pour 9 200 euros. Un bronze à trois patines par Louis-Ernest Barrias titré « La Nature se dévoilant devant la Science » (hauteur 59 cm) a été disputé jusqu'à 11 900 euros et une huile rentoilé de Camille Corot titrée « Cavalier en chemin » vers 1845-1850 (24 x 14 cm) a atteint 12 000 euros.
A Toulouse, une salle à manger 1900 en noyer, six chaises, une table, une armoire et un buffet, a été adjugée pour 41 000 euros. Un bureau à cylindre en acajou estampillé Schey, époque Louis XVI a été vendu pour 18 000 euros, une paire de consoles en partie Louis XV en bois doré a été cédée pour 14 500 euros, une commode en marqueterie estampillée Lapie d'époque Transition a été disputée jusqu'à 8 000 euros et un bouchon de radiateur « Pintade » par René Lalique a été vendu pour 6 000 euros.
A Dijon, une tête de vieille homme en bronze patiné (hauteur 18 cm) non signé par Camille Claudel, étude pour "l'âge mûr" a été adjugée pour 15 000 euros et un portrait de jeune fille au buste rose attribué à Jacques André Aved (40 x 31 cm) a été acquis pour 12 000 euros.
Le 17 novembre à Fontainebleau, une plaque de Grand Aigle de la légion d'honneur de manteau ou de cape, étoile à cinq branches, à dix pointes anglées sur cinq rayons, brodée de cannetilles et de paillettes, le centre à l'aigle rapporté en argent estampé ciselé et découpé, avec la devise « honneur et patrie », rameaux de feuilles de laurier en exergue en fil d'argent, en bon état (diamètre 18 cm) qui proviendrait de Sainte Hélène a été vendue pour 70 000 euros.
Un bâton de maréchal de France de Louis-Auguste Victor de Bourmont, comte de Ghalanes (1830) a été emporté pour 64 000 euros. Un fauteuil provenant du mobilier de l'Empereur à Sainte-Hélène a recueilli une enchère de 51 000 euros, une paire de pistolets à silex, canons à rayures chevaux, aux attributs militaires poinçonnés P C a été vendue pour 60 000 euros et un vase en porcelaine de Sèvres, offert en cadeau à l'occasion du Jour de l'An 1814 par Napoléon à la duchesse de Montebello, à tête de Jupiter et décor polychrome d'une scène pastorale a atteint 48 000 euros.
Un dessin aquarellé et gouaché montrant Napoléon 1er à cheval d'après Carle Vernet a atteint 42 000 euros et un buste en terre cuite de l'Empereur par Joseph Chinard (1810, hauteur 65 cm) a été cédé pour 24 000 euros.
Une chemise de Napoléon 1er en batiste marquée P C a été acquise pour 36 000 euros. Un gant de cavalerie de l'Empereur donné en 1809 à Fontainebleau par le mameluk Roustan a été adjugé pour 33 000 euros.
Une cape de cérémonie de Pair de France en velours de soie bleu a été vendue pour 26 000 euros. Deux clefs en fer forgé de la casbah d'Alger ont atteint 14 000 euros, un bijou de grand-croix de l'ordre de la Légion d'honneur d'époque Restauration a receuilli une enchère de 21 000 euros et un paravent à huit feuilles en bois plaqué à décor de chinoiseries peintes en or et en argent de la fin du XVIIIe siècle a été cédé pour 27 000 euros.
A Châlons-en-Champagne, une huile sur toile d'André Lanskoy titrée « Les trahisons du miroir » (83 x 54 cm) a recueilli une enchère de 12 200 euros.
A Soissons, une huile sur panneau de Charles Olivier de Penne titrée « L'Irlandais et ses setters » (32 x 41,5 cm) a atteint 8 000 euros et une sculpture de Moigniez représentant un basset debout, bronze à patine brun clair nuancé, fonte ancienne, a été adjugée pour 7 500 euros.
A Mâcon, un meuble d'apothicaire en chêne vers 1900 a été vendu pour 14 500 euros.
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