« L'art et la vie ne faisant qu'un, c'est dans la recherche de la poésie de tous les jours, à base d'objets manufacturés ou de structures existantes, que je peux déterminer ma poétique » (Jean-Pierre Raynaud)
A Toulon, une cassette nécessaire de fusils de chasse à silex et à percussion par Alex Sarlat à Saint-Etienne en marqueterie de loupe d'orme aux poinçons d'argent du maître orfèvre CC (1819-1838) a été vendue pour 40 000 euros.
A Villefranche-sur-Saône, un vase en porcelaine de Saxe (hauteur 168 cm), marque de Dresde, signé Geyer, a été vendu pour 26 000 euros.
Le 16 juin à Enghien, une figure d'ancêtre féminine ibo du Nigéria a été vendue pour 11 000 euros. Une figure reliquaire Bakota du Gabon en bois plaqué de feuilles et de lamelles de laiton et garnitures de fer (hauteur 37 cm) a atteint 25 100 euros et une statuette boa du Congo en bois à patine noire, laiton, osier, clous de traite (hauteur 44 cm) a culminé à 60 000 euros.
A Louviers, un paysage romantique daté de 1811 (38 x 32 cm) par M. Drolling a été vendu pour 12 000 euros.
A Rouen, «La Foire aux chevaux», une toile de Raymond Lecourt (1882-1946) mesurant 123 x 81 cm.a été vendue pour 18 500 euros et une gouache de Raoul Dufy titrée « Balcon de Paris, Notre-Dame » (40 x 46 cm) a été adjugée pour 22 000 euros.
A Lyon, une table en cas de forme galbée en placage de palissandre marqueté en feuilles et de motifs quadrilobés ouvrant à deux vantaux surmontés d'un large casier, posée sur des pieds cambrés d'époque Louis XV (87 x 56 x 35 cm) a été vendue pour 16 800 euros.
Un dessin de Pierre Paul Prud'hon au crayon noir et craie blanche représentant une étude préparatoire pour le portrait de Joséphine dans le parc de la Malmaison (38 x 49 cm) a été vendu pour 29 500 euros. Un nu à l'ombrelle chinoise par J.G Domergue mesurant 100 x 81 cm a atteint 13 000 euros. Une aquarelle gouachée par Paul Signac datée de 1923 titrée « Groix, voiliers à quai » (25 x 40 cm) a été vendue pour 14 500 euros.
Une suite de quatre appliques par H.G Jouve en céramique noire, motif abstrait en forme de huit stylisé, a été enlevée pour 16 500 euros.
Les ventes en province n'ont pas donné lieu à des enchères extraordinaires durant la semaine écoulée.
Le 11 juin à Brest, une pendulette squelette signée Laurent, cabinet en bronze patiné et doré, mouvement supporté par deux arches en bronze patiné, les ornements en appliques, mascarons, vases de bronzes doré, le cadran annulaire en émail blanc avec indication des heures en chiffres romains, des minutes aux quarts en chiffres arabes, échappement à ancre, suspension à ressort, platine repercée a été vendue pour 15 000 euros.
Une sculpture en bronze par Barye représentant un singe monté sur un gnou a été adjugé pour 8 000 euros.
Le 12 juin à Angers, une marine par du Puigaudeau a été achetée pour 11 500 euros. Le 13 juin à Orléans, une commode appelée « bas d'armoire » à portes en acajou, époque Empire (hauteur 95 cm, largeur 146,5 cm et profondeur 59 cm) a atteint 37 000 euros et une pendule en marbre et bronze doré au cadran montrant les phases de la lune, époque Louis XVI, a été vendue pour 31 600 euros.
Le 15 juin à Marseille, une huile sur toile d'Albert Marquet titrée « Fenêtre ouverte sur la ville d'Alger » (33 x 41 cm) a été vendue pour 67 000 euros alors qu'une toile de Maximilien Luce datée de 1905 représentant une vue de la cathédrale d'Orléans et du pont enjambant la Loire (38 x 46 cm) a atteint 30 500 euros. A noter une enchère de 20 500 euros pour « Effets de soleil sur la mer » (96 x 121 cm) par Olive.
A Nîmes, un flacon en verre à corps taloché de section rectangulaire et goulot rond doublé blanc transparent à inclusions de bulles blanches, sur couche intermédiaire d'oxyde rouge vif signé Maurice Marinot (hauteur 15,5 cm) a été vendu 21 300 euros. Un autre flacon quadrangulaire à corps taloché en verre doublé blanc transparent à inclusions de bulles dorées (hauteur 12 cm) a atteint 11 300 euros et un troisième flacon de forme sphérique en verre blanc transparent à inclusions de bulles dorées sur une couche intermédiaire d'oxyde bleu foncé (Hauteur 12 cm) a recueilli 10 500 euros.
A Romorantin, une toile d'André Bauchant vers 1920 titrée « La Ronde villageoise » (65 x 81 cm) a été adjugée pour 20 500 euros. Une huile sur toile encollée sur carton de Bela Czobel représentant des marins en bord de mer (46 x 60 cm) a été vendue pour 7 000 euros.
A Dijon, une huile sur toile d'Armand Beauvais titrée « Un jour de vent à Cayeux sur Mer » (98 x 158 cm) a été vendue pour 8 200 euros.
A Vichy, neuf sarrusophones, plusieurs signés par Gautrot Marquet, XIXe siècle, un soprano mi bémol en métal argenté, un soprano si bémol en laiton, un alto mi bémol en laiton, un ténor en si bémol en laiton, un baryton en mi bémol, une basse en si bémol, une basse ut en métal nickelé, une basse en si bémol en laiton également nickelé ont été adjugés pour 34 200 euros.
A Toulon, une cassette nécessaire de fusils de chasse à silex et à percussion par Alex Sarlat à Saint-Etienne en marqueterie de loupe d'orme aux poinçons d'argent du maître orfèvre CC (1819-1838) a été vendue pour 40 000 euros.
A Villefranche-sur-Saône, un vase en porcelaine de Saxe (hauteur 168 cm), marque de Dresde, signé Geyer, a été vendu pour 26 000 euros.
Le 16 juin à Enghien, une figure d'ancêtre féminine ibo du Nigéria a été vendue pour 11 000 euros. Une figure reliquaire Bakota du Gabon en bois plaqué de feuilles et de lamelles de laiton et garnitures de fer (hauteur 37 cm) a atteint 25 100 euros et une statuette boa du Congo en bois à patine noire, laiton, osier, clous de traite (hauteur 44 cm) a culminé à 60 000 euros.
A Louviers, un paysage romantique daté de 1811 (38 x 32 cm) par M. Drolling a été vendu pour 12 000 euros.
A Rouen, «La Foire aux chevaux», une toile de Raymond Lecourt (1882-1946) mesurant 123 x 81 cm.a été vendue pour 18 500 euros et une gouache de Raoul Dufy titrée « Balcon de Paris, Notre-Dame » (40 x 46 cm) a été adjugée pour 22 000 euros.
A Lyon, une table en cas de forme galbée en placage de palissandre marqueté en feuilles et de motifs quadrilobés ouvrant à deux vantaux surmontés d'un large casier, posée sur des pieds cambrés d'époque Louis XV (87 x 56 x 35 cm) a été vendue pour 16 800 euros.
Un dessin de Pierre Paul Prud'hon au crayon noir et craie blanche représentant une étude préparatoire pour le portrait de Joséphine dans le parc de la Malmaison (38 x 49 cm) a été vendu pour 29 500 euros. Un nu à l'ombrelle chinoise par J.G Domergue mesurant 100 x 81 cm a atteint 13 000 euros. Une aquarelle gouachée par Paul Signac datée de 1923 titrée « Groix, voiliers à quai » (25 x 40 cm) a été vendue pour 14 500 euros.
Une suite de quatre appliques par H.G Jouve en céramique noire, motif abstrait en forme de huit stylisé, a été enlevée pour 16 500 euros.
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