"La différence entre le mot juste et le mot presque juste est la même que celle qui existe entre l'éclair de la foudre et la lumière du ver luisant" (Mark Twain)
Les Jardins du casino de Monte-Carlo sont devenus jusqu'au 31 octobre 2002 le paradis des sculptures d'animaux.
Les visiteurs peuvent y découvrir des sculptures de nombreux artistes, notamment Fernando Botero, Gloria Friedmann, Jean-Pierre Raynaud, John Kelly, Patrick Mimran, Xavier Mascaro, Pascal Bernier, Magdalena Abakanowicz, Miguel Barcelo, Grisha Bruskin, Stephen Gregory, Roseline Granet, Niki de Saint-Phalle, Red Grooms, Germaine Richier, Antoine Bourdelle ou François Pompon pour ne citer que ceux-là.
Les jardins sont ainsi transformés en véritable bestiaire montré sous différents aspects, une tour de Babel des animaux, silencieux, comiques, imposants, féroces, magnifiques, statiques ou semblant prêts à bondir, le jeu des formes s'opposant au temple du jeu voisin, les sabots des chevaux ou des taureaux sur le tapis vert des jardins nous faisant découvrir la carte de la vie alors que les sabots du casino nous offrent trop souvent la déception. Des jardins transformés en Eden où l'animal est enfin roi, magnifié par les artistes désireux de lui rendre hommage et de nous faire comprendre que sans lui l'homme n'existerait pas.
Les Jardins du casino de Monte-Carlo sont devenus jusqu'au 31 octobre 2002 le paradis des sculptures d'animaux.
Les visiteurs peuvent y découvrir des sculptures de nombreux artistes, notamment Fernando Botero, Gloria Friedmann, Jean-Pierre Raynaud, John Kelly, Patrick Mimran, Xavier Mascaro, Pascal Bernier, Magdalena Abakanowicz, Miguel Barcelo, Grisha Bruskin, Stephen Gregory, Roseline Granet, Niki de Saint-Phalle, Red Grooms, Germaine Richier, Antoine Bourdelle ou François Pompon pour ne citer que ceux-là.
Les jardins sont ainsi transformés en véritable bestiaire montré sous différents aspects, une tour de Babel des animaux, silencieux, comiques, imposants, féroces, magnifiques, statiques ou semblant prêts à bondir, le jeu des formes s'opposant au temple du jeu voisin, les sabots des chevaux ou des taureaux sur le tapis vert des jardins nous faisant découvrir la carte de la vie alors que les sabots du casino nous offrent trop souvent la déception. Des jardins transformés en Eden où l'animal est enfin roi, magnifié par les artistes désireux de lui rendre hommage et de nous faire comprendre que sans lui l'homme n'existerait pas.