Depuis le tout début du mois de septembre 2002, une série d'événements pour le moins bizarres et stupéfiants a gravement perturbé le fonctionnement du site artcult.com.
Pendant plus de quatre semaines, il a donc fallu remanier d'urgence le site en profondeur suite à une attaque inattendue et insidieuse menée pour d'obscures raisons contre celui-ci alors que d'autres événements contrariants ont suivi dans la foulée comme pour mieux perturber ma sérénité et mes efforts visant à faire de artcult un outil de référence dans le domaine de l'art.
Cet enchaînement de problèmes inattendus m'amène à me poser des questions, à savoir s'ils ne sont pas fortuits. Dans ce cas, je me demande donc si les attaques visant artcult n'ont pas été téléguidées comme certains observateurs me l'ont suggéré.
L'art n'est pas synonyme de neutralité du fait que la critique a souvent fait pencher la balance en faveur de certains artistes au détriment de ceux qui n'ont cependant pas été dénués de talent. En outre, le public, dirigé ou pas, fait des choix qui imposent certains critères. Le marché n'est pas plus neutre puisqu'il est contrôlé par une élite qui y fait la pluie et le beau temps.
Un journaliste peut donc encenser à sa guise un artiste, une exposition, des ventes aux enchères ou des professionnels tout comme il peut les critiquer lorsqu'il a dûment vérifié les informations dont il dispose. Dire que l'art contemporain va mal en exposant les raisons de son malaise n'a rien de diffamatoire. Affirmer que le marché de l'art est contrôlé à son sommet par des gens influents ne l'est pas plus.
L'art appartient en fait à tout le monde et n'a pas à être un terrain de chasse gardé pour certains privilégiés surtout que les gens ont besoin de mieux appréhender ce domaine, reconnu essentiel pour la sauvegarde de l'humanité.
Bref, je ne suis pas sans savoir que certains de mes articles qui ont néanmoins reflété la vérité n'ont pas eu l'heur de plaire à certaines personnes surtout que artcult a atteint une audience appréciable se chiffrant entre 20 000 et 30 000 visites par jour. A partir de là, je peux me demander si quelque mauvais coucheur n'a pas voulu me donner une leçon brutale en cherchant alors à me faire perdre pied pour cesser d'animer mon site et me réduire ainsi au silence.
La liberté d'informer est un devoir sacré du moment qu'on ne cède pas à l'arbitraire ou pire, à la manipulation. En ce qui me concerne, je pense en toute sincérité que depuis près d'une vingtaine d'années ma lutte pour la promotion et la défense de l'art à travers des magazines puis artcult.com a été des plus nobles d'autant plus que j'ai pris un soin constant à vérifier mes sources dans le cadre de reportages délicats.
En attendant, je me permets de dénoncer la trahison (il n'y a pas d'autre mot) d'un confrère qui m'avait promis, juré, de mettre un terme aux attaques injustifiées et stupides contre artcult et qui, au final, n'a pas pu ou voulu m'aider après avoir invoqué des prétextes incompréhensibles. Je m'abstiens de tout autre commentaire concernant cette affaire pour le moins ubuesque d'articles offerts « libres de droits » d'un côté et qui ne le seraient pas de l'autre. C'est à y perdre son latin.
Suite nf841
Par Adrian Darmon
Depuis le tout début du mois de septembre 2002, une série d'événements pour le moins bizarres et stupéfiants a gravement perturbé le fonctionnement du site artcult.com.
Pendant plus de quatre semaines, il a donc fallu remanier d'urgence le site en profondeur suite à une attaque inattendue et insidieuse menée pour d'obscures raisons contre celui-ci alors que d'autres événements contrariants ont suivi dans la foulée comme pour mieux perturber ma sérénité et mes efforts visant à faire de artcult un outil de référence dans le domaine de l'art.
Cet enchaînement de problèmes inattendus m'amène à me poser des questions, à savoir s'ils ne sont pas fortuits. Dans ce cas, je me demande donc si les attaques visant artcult n'ont pas été téléguidées comme certains observateurs me l'ont suggéré.
L'art n'est pas synonyme de neutralité du fait que la critique a souvent fait pencher la balance en faveur de certains artistes au détriment de ceux qui n'ont cependant pas été dénués de talent. En outre, le public, dirigé ou pas, fait des choix qui imposent certains critères. Le marché n'est pas plus neutre puisqu'il est contrôlé par une élite qui y fait la pluie et le beau temps.
Un journaliste peut donc encenser à sa guise un artiste, une exposition, des ventes aux enchères ou des professionnels tout comme il peut les critiquer lorsqu'il a dûment vérifié les informations dont il dispose. Dire que l'art contemporain va mal en exposant les raisons de son malaise n'a rien de diffamatoire. Affirmer que le marché de l'art est contrôlé à son sommet par des gens influents ne l'est pas plus.
L'art appartient en fait à tout le monde et n'a pas à être un terrain de chasse gardé pour certains privilégiés surtout que les gens ont besoin de mieux appréhender ce domaine, reconnu essentiel pour la sauvegarde de l'humanité.
Bref, je ne suis pas sans savoir que certains de mes articles qui ont néanmoins reflété la vérité n'ont pas eu l'heur de plaire à certaines personnes surtout que artcult a atteint une audience appréciable se chiffrant entre 20 000 et 30 000 visites par jour. A partir de là, je peux me demander si quelque mauvais coucheur n'a pas voulu me donner une leçon brutale en cherchant alors à me faire perdre pied pour cesser d'animer mon site et me réduire ainsi au silence.
La liberté d'informer est un devoir sacré du moment qu'on ne cède pas à l'arbitraire ou pire, à la manipulation. En ce qui me concerne, je pense en toute sincérité que depuis près d'une vingtaine d'années ma lutte pour la promotion et la défense de l'art à travers des magazines puis artcult.com a été des plus nobles d'autant plus que j'ai pris un soin constant à vérifier mes sources dans le cadre de reportages délicats.
En attendant, je me permets de dénoncer la trahison (il n'y a pas d'autre mot) d'un confrère qui m'avait promis, juré, de mettre un terme aux attaques injustifiées et stupides contre artcult et qui, au final, n'a pas pu ou voulu m'aider après avoir invoqué des prétextes incompréhensibles. Je m'abstiens de tout autre commentaire concernant cette affaire pour le moins ubuesque d'articles offerts « libres de droits » d'un côté et qui ne le seraient pas de l'autre. C'est à y perdre son latin.
Suite nf841
Bref, il est anormal et inadmissible que artcult ait à payer le prix d'une incohérence manifeste alors qu'il aurait été bien plus simple de régler cette affaire de droits à l'amiable. J'estime ainsi avoir reçu un coup de poignard dans le dos de la part de personnes avec qui j'entretenais des relations courtoises et j'ignore encore quels ont pu être leurs réels motifs.
Quoi qu'il en soit je me permets de fustiger leur bassesse quand bien même on pourrait louer le savoir de ce confrère qui s'égare toutefois dans des diatribes violentes et inutiles contre l'Etat publiées via Internet. Il va sans dire que je suis pour le moins stupéfait par l'attitude de la personne qui a brutalement attaqué artcult concernant des articles qui pour la plupart étaient loin d'avoir un caractère original.
N'empêche, à force de se persuader qu'ils exercent une quelconque influence sur le marché de l'art, ces gens finissent par se duper eux-mêmes mais le plus grave est qu'ils m'ont fait précipiter dans un piège avec pour résultat d'abuser de ma bonne foi.
On verra toutefois assez vite qui sera vraiment dans la lumière ou dans l'ombre dans les mois à venir. Et dire que j'ai perdu mon temps avec des agités qui croyaient refaire le monde de l'art à travers des réunions du style café du commerce et que j'ai eu la naïve gentillesse de publier leurs articles pour mieux les faire connaître sans me douter un seul instant que je serai plus tard accusé d'avoir pillé certains de leurs écrits. Voilà une belle ingratitude alors que je me pose des questions lancinantes sur les raisons qui se cachent derrière leurs attaques.
Si quelqu'un les a téléguidés pour nuire à ma personne, cela se saura tôt ou tard car les gens pétris de mauvaises intentions se doivent notamment de prendre garde à leurs faux amis. Que ce soit dans le monde l'art ou ailleurs, il y a toujours des fuites ou des ragots inévitables et il serait bon que mes ennemis sachent que mon métier de journaliste et mon expérience m'ont permis de nouer des contacts à tous les niveaux et surtout appris comment enquêter.
Il n'y a pas de fumée sans feu surtout que la série d'avatars que j'ai subis en un mois paraît difficilement être le fruit du hasard.
Le proverbe dit : « il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué ». Dans mon cas, ayant eu déjà à surmonter des obstacles beaucoup plus impressionnants et périlleux au cours de ma carrière, je tiens à avertir ceux qui cherchent à obtenir ma mort professionnelle que je tire avant tout ma force et ma pugnacité dans l'adversité et qu'en conséquence, je n'entends pas baisser les bras. Si on veut me détruire, eh bien, j'utiliserais l'arme la plus percutante pour me défendre, c'est à dire ma plume…