Le Louvre des Antiquaires qui est un lieu permanent d'exposition, consacre jusqu'au 15 décembre 2001 une partie de ses allées à un grand personnage qui fut alchimiste et mécène: Rodolphe II de Habsbourg, Archiduc d'Autriche, empereur germanique, roi de Hongrie et de Bohême.
Curieux de tout ce qui était insolite ou beau, insatiable collectionneur, sa fortune impériale lui permit d'être considéré comme un protecteur des arts. A travers lui, son château de la ville de Prague devint un centre culturel dans lequel se reflétait une grande partie des courants de l'époque où il vécut, c'est à dire de 1552 à 1612.
NAVARRATAGE…
La nuit de clôture de l'exposition « L'art à la plage », organisée le 11 octobre 2001 par la galerie Enrico Navarra au VIP Room au 78 avenue des Champs-Elysées, s'est transformée d'une part en une belle fête pour certains invités triés sur le volet et d'autre part en cauchemar pour les dizaines de personnes qui ont eu le courage d'attendre des heures pour être admises dans ce lieu.
Le carton d'invitation de la galerie n'indiquant pas l'heure du démarrage des festivités, de nombreux amateurs d'art ont en effet trouvé porte close en arrivant vers les 19 heures au VIP Room pour être ensuite informés que la soirée ne débutait qu'à 21 heures 30.
Ceux qui sont restés dans les parages à tuer le temps au cinéma, au restaurant ou dans des cafés, sont donc revenus à l'heure dite mais pour apprendre alors que la soirée était précédée par un dîner privé auquel étaient conviées des personnalités du Tout-Paris et de la Jet-Set.
En fait, cette fameuse nuit de clôture débutait à minuit trente et pas avant, ce qui n'a pas manqué de mettre en colère ceux qui ont eu l'impression d'avoir été invités pour faire de la figuration.
L'exposition « L'art à la plage », organisée cet été sur la Côte d'Azur, avait bénéficié d'une intense promotion et permis de faire monter d'un cran la réputation d'Enrico Navarra, considéré dès lors de plus en plus comme un galeriste très entreprenant et courageux mais dont la dernière lubie, selon la chaîne M6, a été de vouloir fréquenter assidûment le monde de la Jet-Set.
Apparemment, la seule priorité d'Enrico Navarra pour cette soirée aura été de soigner aux petits oignons un cercle constitué de « branchés », d'admirateurs zélés et de collectionneurs chouchoutés sans trop se soucier du sort des autres invités. «C'est Navarra des goûts douteux…», s'est notamment écriée une personne, outrée d'avoir été simplement invitée… pour la galerie.
Le Louvre des Antiquaires qui est un lieu permanent d'exposition, consacre jusqu'au 15 décembre 2001 une partie de ses allées à un grand personnage qui fut alchimiste et mécène: Rodolphe II de Habsbourg, Archiduc d'Autriche, empereur germanique, roi de Hongrie et de Bohême.
Curieux de tout ce qui était insolite ou beau, insatiable collectionneur, sa fortune impériale lui permit d'être considéré comme un protecteur des arts. A travers lui, son château de la ville de Prague devint un centre culturel dans lequel se reflétait une grande partie des courants de l'époque où il vécut, c'est à dire de 1552 à 1612.
NAVARRATAGE…
La nuit de clôture de l'exposition « L'art à la plage », organisée le 11 octobre 2001 par la galerie Enrico Navarra au VIP Room au 78 avenue des Champs-Elysées, s'est transformée d'une part en une belle fête pour certains invités triés sur le volet et d'autre part en cauchemar pour les dizaines de personnes qui ont eu le courage d'attendre des heures pour être admises dans ce lieu.
Le carton d'invitation de la galerie n'indiquant pas l'heure du démarrage des festivités, de nombreux amateurs d'art ont en effet trouvé porte close en arrivant vers les 19 heures au VIP Room pour être ensuite informés que la soirée ne débutait qu'à 21 heures 30.
Ceux qui sont restés dans les parages à tuer le temps au cinéma, au restaurant ou dans des cafés, sont donc revenus à l'heure dite mais pour apprendre alors que la soirée était précédée par un dîner privé auquel étaient conviées des personnalités du Tout-Paris et de la Jet-Set.
En fait, cette fameuse nuit de clôture débutait à minuit trente et pas avant, ce qui n'a pas manqué de mettre en colère ceux qui ont eu l'impression d'avoir été invités pour faire de la figuration.
L'exposition « L'art à la plage », organisée cet été sur la Côte d'Azur, avait bénéficié d'une intense promotion et permis de faire monter d'un cran la réputation d'Enrico Navarra, considéré dès lors de plus en plus comme un galeriste très entreprenant et courageux mais dont la dernière lubie, selon la chaîne M6, a été de vouloir fréquenter assidûment le monde de la Jet-Set.
Apparemment, la seule priorité d'Enrico Navarra pour cette soirée aura été de soigner aux petits oignons un cercle constitué de « branchés », d'admirateurs zélés et de collectionneurs chouchoutés sans trop se soucier du sort des autres invités. «C'est Navarra des goûts douteux…», s'est notamment écriée une personne, outrée d'avoir été simplement invitée… pour la galerie.