La Tate Modern de Londres présente jusqu'au 19 août une exposition consacrée à l'Arte Povera italien, un des mouvements majeurs des années 1960.
Quatorze artistes italiens, Boetti, Fabro, Gilardi, Marisa et Mario Merz, Kounellis, Calzolari, Paolini, Penone, Pascali, Pistoletto, Prini, Anselmo et Zorio, ont constitué un groupe qui a développé une forme d'art opposée à la peinture ou plutôt déterminés à la redéfinir.
Ils utilisèrent toutes sortes de matériaux comme le verre, des miroirs, du charbon, de la laine, du bois ou même des pommes de terre pour créer leurs œuvres inventives certes mais cernant la réalité du monde. La pauvreté était destinée essentiellement à dépasser les acquis de la culture pour aller vers la vérité basée sur le corps et les perceptions. Il y a à la Tate une salle par artiste pour montrer un art étonnant et théâtral avec les «néons parlants» de Calzolari, le mètre cube de terre de Pascali, les œuvres en laine de Kounellis, les «miroirs illustrés» de Pistoletto, les «pierres volantes d'Anselmo» ou les igloos de Merz qui ont fait de l'Arte Povera un mouvement somme toute riche.
La Tate Modern de Londres présente jusqu'au 19 août une exposition consacrée à l'Arte Povera italien, un des mouvements majeurs des années 1960.
Quatorze artistes italiens, Boetti, Fabro, Gilardi, Marisa et Mario Merz, Kounellis, Calzolari, Paolini, Penone, Pascali, Pistoletto, Prini, Anselmo et Zorio, ont constitué un groupe qui a développé une forme d'art opposée à la peinture ou plutôt déterminés à la redéfinir.
Ils utilisèrent toutes sortes de matériaux comme le verre, des miroirs, du charbon, de la laine, du bois ou même des pommes de terre pour créer leurs œuvres inventives certes mais cernant la réalité du monde. La pauvreté était destinée essentiellement à dépasser les acquis de la culture pour aller vers la vérité basée sur le corps et les perceptions. Il y a à la Tate une salle par artiste pour montrer un art étonnant et théâtral avec les «néons parlants» de Calzolari, le mètre cube de terre de Pascali, les œuvres en laine de Kounellis, les «miroirs illustrés» de Pistoletto, les «pierres volantes d'Anselmo» ou les igloos de Merz qui ont fait de l'Arte Povera un mouvement somme toute riche.