Les ventes de Christie's des grands peintres de l'art contemporain allant de l'après-guerre à aujourd'hui ont connu un énorme succès avec un produit total de 240 millions de dollars le 15 novembre 2006 à New York.
L'argent semble couler à flots aux Etats-Unis (près de 65% d'acheteurs américains), à Londres, Moscou ou Hong Kong au vu des résultats enregistrés lors de cette mémorable soirée. L'orgie d'enchères dépassant le million le dollars a été propre à donner le tournis aux observateurs dont certains ont éprouvé un certain malaise en constatant que le fossé entre les riches et les moins nantis s'est incroyablement creusé jusqu'à devenir indécent.
Andy Warhol est revenu brutalement sur le devant de la scène avec des enchères mirobolantes propres à faire frémir de surprise une salle archi-comble où il fallait être un VIP pour pouvoir avoir un siège. 16,2 millions de dollars pour la Marilyn Monroe sur fond orange (50,8 x 40,6 cm), soit plus de cinq fois son prix enregistré en 2001 chez Christie's, 17,37 millions de dollars pour le portrait de Mao, une sérigraphie à l'encre sur toile de 1972 (208,3 x 154,9 cm) emporté par un collectionneur de Hong Kong, et 15,6 millions de dollars pour "16 Jackies" peintes en 1964 et représentant Jackie Kennedy sous toutes ses facettes.
Il y a eu bien entendu une valse de records, 27,1 millions de dollars pour "Untitled, 1977", une grande toile de Willem De Kooning dont une oeuvre sur papier, "Seated Woman 1", a atteint l' enchère démentielle de 9,6 millions de dollars. 21,2 millions de dollars pour "1947-R-N°1" de Clyfford Still, soit trois fois son estimation.
La valse a continué avec les 15 millions de dollars obtenus pour "Version N°2 of lying figure with hypodermic syringe" de 1968 par Francis Bacon chez Sotheby's alors que "Yellow and white brushstrokes" de Roy Lichtenstein a culminé à 9,5 millions de dollars sauf que "Head-Yellow and black", une autre oeuvre de ce dernier trop vue récemment dans des foires internationales n'a pas trouvé preneur, les acheteurs se concentrant sur des pièces n'ayant pas circulé depuis quelques années.
Les ventes de Christie's des grands peintres de l'art contemporain allant de l'après-guerre à aujourd'hui ont connu un énorme succès avec un produit total de 240 millions de dollars le 15 novembre 2006 à New York.
L'argent semble couler à flots aux Etats-Unis (près de 65% d'acheteurs américains), à Londres, Moscou ou Hong Kong au vu des résultats enregistrés lors de cette mémorable soirée. L'orgie d'enchères dépassant le million le dollars a été propre à donner le tournis aux observateurs dont certains ont éprouvé un certain malaise en constatant que le fossé entre les riches et les moins nantis s'est incroyablement creusé jusqu'à devenir indécent.
Andy Warhol est revenu brutalement sur le devant de la scène avec des enchères mirobolantes propres à faire frémir de surprise une salle archi-comble où il fallait être un VIP pour pouvoir avoir un siège. 16,2 millions de dollars pour la Marilyn Monroe sur fond orange (50,8 x 40,6 cm), soit plus de cinq fois son prix enregistré en 2001 chez Christie's, 17,37 millions de dollars pour le portrait de Mao, une sérigraphie à l'encre sur toile de 1972 (208,3 x 154,9 cm) emporté par un collectionneur de Hong Kong, et 15,6 millions de dollars pour "16 Jackies" peintes en 1964 et représentant Jackie Kennedy sous toutes ses facettes.
Il y a eu bien entendu une valse de records, 27,1 millions de dollars pour "Untitled, 1977", une grande toile de Willem De Kooning dont une oeuvre sur papier, "Seated Woman 1", a atteint l' enchère démentielle de 9,6 millions de dollars. 21,2 millions de dollars pour "1947-R-N°1" de Clyfford Still, soit trois fois son estimation.
La valse a continué avec les 15 millions de dollars obtenus pour "Version N°2 of lying figure with hypodermic syringe" de 1968 par Francis Bacon chez Sotheby's alors que "Yellow and white brushstrokes" de Roy Lichtenstein a culminé à 9,5 millions de dollars sauf que "Head-Yellow and black", une autre oeuvre de ce dernier trop vue récemment dans des foires internationales n'a pas trouvé preneur, les acheteurs se concentrant sur des pièces n'ayant pas circulé depuis quelques années.