On peut remercier Alexandre Dumas d'avoir eu une imagination débordante pour écrire nombre de livres extraordinaires. Sinon, il n'aurait peut-être écrit qu'un seul roman qu'il aurait peut-être intitulé « L'Etroit Mousquetaire »….
Lors d'une vente organisée par Christie's, un saupoudroir en argent (Paris 1724) réalisé par le maître orfèvre Jacques Filassier, de forme balustre (23 cm de hauteur) (poids 458 g) sur piédouche, a été vendu pour 21 000 euros. Une paire de potiches japonaises (57,3 cm de hauteur) de la période Edo (fin du XVIIe siècle) en porcelaine Imari a atteint 22 000 euros au double de son estimation.
Une paire de guéridons Louis-Philippe en bronze ciselé à patine vert, noir et doré, les plateaux circulaires en marbre noir soutenus par un fût à motif de palmette émergeant d'un bouquet d'acanthes, le piétement tripode à pattes et masque d'animal fantastique reposant sur un bas triangulaire concave a culminé à 40 000 euros.
Une commode d'époque Louis XV (132 cm) attribuée à l'ébéniste Jacques-Philippe Carel (1688-1752), la façade ouvrant à deux tiroirs sans traverse, compartimentée par une marqueterie de croisillons en bois de rose et bois de violette dans des encadrements avec une riche ornementation de bronzes dorés, a atteint 60 00 euros. Un tapis du XIXe siècle en laine (540 x 340 cm) dans le goût de la Savonnerie à fond beige, le décor déployant un trophée d'instruments jardiniers dans un cartouche de rinceaux d'acanthes de laurier enrubanné, a été adjugé pour 45 000 euros. Un prix similaire a par ailleurs été enregistré pour une tapisserie en laine et soie de Bruxelles du milieu du XVIe siècle représentant l'enlèvement des Sabines dans un paysage boisé avec un château à l'arrière plan.
L'étude Beaussant a obtenu 520 000 euros pour une paire de vases d'ornement en porcelaine de la manufacture de Saint-Pétersbourg à fond bleu avec motifs de rinceaux et palmettes en dorure gravée, chacun orné sur une des faces d'une réserve rectangulaire à décor polychrome montrant des paysages maritimes d'après Joseph Vernet, l'un signé Momepeko, l'autre C. Torobz daté de 1832 (hauteur 100 cm). Estimée entre 150 000 et 190 000 euros, cette paire de vases de grande qualité était destinée aux palais royaux ou à des présents diplomatiques.
Au cours de la même vente, un lavis d'encre de chine de Charles Nicolas Cochin (1715-1790) intitulé « La promenade des remparts de Paris » (23 x 37 cm) a atteint 23 000 euros. Une huile sur toile de Philothée François Dufflos (1710-1746) titrée « L'Arc de triomphe de Septime Sévère à Rome » (40 x 63,5 cm) datée de 1745 a atteint 41 000 euros, au double de son estimation.
De belles enchères ont été obtenues pour trois huiles réalisées par Alexandre-François Caminade (1789-1862). « Le Lévite d'Ephraïm » (60 x 81 cm), esquisse du tableau conservé au musée d'Avignon, a été vendu pour 18 500 euros, « La Vue de Cascatelles à Tivoli » (47,5 x 32 cm) a atteint 38 000 euros et un paysage animé, Cascatelles à Tivoli (36,5 x 24 cm) a recueilli 33 000 euros.
Une commode d'époque Louis XV à montants arrondis ouvrant à trois tiroirs, le décor marqueté de motifs géométriques en ébène et filets de laiton sur fond d'amarante a quant à elle été vendue pour 45 000 euros.
Le 9 avril, l'étude Tajan a obtenu 32 000 euros pour « La Bible » (Paris, Tériade, 1956) en deux volumes illustrés de 105 eaux-fortes de Marc Chagall (un des 295 exemplaires sur montval). Deux ouvrages de la photographe Germaine Krull, «Métal» (Librairie des Arts Décoratifs avec 64 planches) et « Marseille » (Paris, Plon, 1955 avec 46 photographies reproduites en héliographie) ont été vendus pour 10 500 euros sur une estimation haute de 220 euros.
Une collection complète de la revue « Verve » (le numéro 24 toutefois manquant) a été adjugée pour 10 000 euros.
De solides enchères ont émaillé les ventes organisées à Drouot entre le 4 et le 12 avril 2002 mais tout en étant soutenus, les prix atteints sont restés inférieurs à ceux enregistrés l'an dernier pour la période correspondante.
Le marché de l'art subit en fait les effets de la crise économique qui touche les pays industrialisés et vit ainsi au ralenti. Quant aux enchères soutenues, celles-ci concernent avant tout des pièces jugées exceptionnelles.
Le 4 avril, l'étude Rieuner a obtenu 17 000 euros pour un plafonnier octogonal Art Déco (centre : 114 cm, total : 325 cm) à décor floral.
L'étude Ader a enregistré une enchère de 18 000 euros pour une huile sur carton de Roderick O'Conor (1860-1940) représentant un paysage aux environs de Pont-Aven (38 x 56 cm) qui n'était seulement estimée qu'à 2500 euros.
Le 8 avril, un livre intitulé «Le Tombeau des princes et des grands capitaines et autres hommes illustres qui ont fleuri dans la Grande-Bretagne vers la fin du XVIIe et le commencement du XVIIIe siècle» (Paris Basan) de Mac Swiny illustré de 20 planches gravées à pleine page et dédicacées à Guillaume II et George II d'Angleterre ainsi qu'à d'autres grands hommes anglais a atteint 19 000 euros.
Le groupe Massol a vendu pour 39 000 euros une aquarelle datée de 1891 à Rome par Giuseppe Aurelli (1858-1928) représentant une jeune femme à l'éventail. Une huile par Henry Schouten (1864-1927) représentant des cavaliers au puits (70,5 x 101 cm) a atteint 13 000 euros et «L'Enlèvement au sérail» (68 x 48 cm), une toile de Fabio Fabri (1861-1946) a suscité une enchère de 39 000 euros.
Une huile sur toile (81 x 81 cm) de Léon Cauvy (1874-1933) intitulée « Souk aux étoffes" a été vendue pour 11 000 euros.
L'étude Calmels a vendu pour 125 000 euros, au double de son estimation, une gouache et crayon datée de 1918 par Henri Laurens (1885-1954) intitulée « Bouteille, verre et journal » (24,3 x 26,3 cm). Une terre cuite du même artiste numérotée IV de 1922 et représentant une femme nue debout (hauteur 26 cm) a été enlevée pour 58 000 euros. Bons scores pour Félix Ziem : 37 000 euros pour « Vieux port à Marseille » (50 x 83 cm), 35 500 euros pour « Venise » et 45 000 euros pour « Constantinople ».
Une huile sur panneau d'Eugène Boudin, « Environs de Honfleur » vers 1854-57 (29 x 31,5 cm) a été vendue pour 45 500 euros alors qu'un dessin de Cézanne, « Paysage » (44,5 x 32 cm) n'a atteint que 60 000 euros, en dessous de son estimation.
Une huile sur toile de Jean Metzinger (1883-1956) représentant une tête de femme et une maison a été adjugée pour 36 000 euros et « La Ville », une gouache (41 x 31m) de Fernand Léger de 1952 a séduit un amateur pour 36 000 euros.
Une aquarelle d'Otto Wols de 1939 intitulée "Le Cirque, solitude" (25 x 32 cm) a doublé son estimation pour atteindre 45 000 euros et une huile abstraite de Karel Appel mesurant 91 x 60 cm a été vendue pour 25 000 euros sur une estimation de 15 000 euros.
Lors d'une vente organisée par Christie's, un saupoudroir en argent (Paris 1724) réalisé par le maître orfèvre Jacques Filassier, de forme balustre (23 cm de hauteur) (poids 458 g) sur piédouche, a été vendu pour 21 000 euros. Une paire de potiches japonaises (57,3 cm de hauteur) de la période Edo (fin du XVIIe siècle) en porcelaine Imari a atteint 22 000 euros au double de son estimation.
Une paire de guéridons Louis-Philippe en bronze ciselé à patine vert, noir et doré, les plateaux circulaires en marbre noir soutenus par un fût à motif de palmette émergeant d'un bouquet d'acanthes, le piétement tripode à pattes et masque d'animal fantastique reposant sur un bas triangulaire concave a culminé à 40 000 euros.
Une commode d'époque Louis XV (132 cm) attribuée à l'ébéniste Jacques-Philippe Carel (1688-1752), la façade ouvrant à deux tiroirs sans traverse, compartimentée par une marqueterie de croisillons en bois de rose et bois de violette dans des encadrements avec une riche ornementation de bronzes dorés, a atteint 60 00 euros. Un tapis du XIXe siècle en laine (540 x 340 cm) dans le goût de la Savonnerie à fond beige, le décor déployant un trophée d'instruments jardiniers dans un cartouche de rinceaux d'acanthes de laurier enrubanné, a été adjugé pour 45 000 euros. Un prix similaire a par ailleurs été enregistré pour une tapisserie en laine et soie de Bruxelles du milieu du XVIe siècle représentant l'enlèvement des Sabines dans un paysage boisé avec un château à l'arrière plan.
L'étude Beaussant a obtenu 520 000 euros pour une paire de vases d'ornement en porcelaine de la manufacture de Saint-Pétersbourg à fond bleu avec motifs de rinceaux et palmettes en dorure gravée, chacun orné sur une des faces d'une réserve rectangulaire à décor polychrome montrant des paysages maritimes d'après Joseph Vernet, l'un signé Momepeko, l'autre C. Torobz daté de 1832 (hauteur 100 cm). Estimée entre 150 000 et 190 000 euros, cette paire de vases de grande qualité était destinée aux palais royaux ou à des présents diplomatiques.
Au cours de la même vente, un lavis d'encre de chine de Charles Nicolas Cochin (1715-1790) intitulé « La promenade des remparts de Paris » (23 x 37 cm) a atteint 23 000 euros. Une huile sur toile de Philothée François Dufflos (1710-1746) titrée « L'Arc de triomphe de Septime Sévère à Rome » (40 x 63,5 cm) datée de 1745 a atteint 41 000 euros, au double de son estimation.
De belles enchères ont été obtenues pour trois huiles réalisées par Alexandre-François Caminade (1789-1862). « Le Lévite d'Ephraïm » (60 x 81 cm), esquisse du tableau conservé au musée d'Avignon, a été vendu pour 18 500 euros, « La Vue de Cascatelles à Tivoli » (47,5 x 32 cm) a atteint 38 000 euros et un paysage animé, Cascatelles à Tivoli (36,5 x 24 cm) a recueilli 33 000 euros.
Une commode d'époque Louis XV à montants arrondis ouvrant à trois tiroirs, le décor marqueté de motifs géométriques en ébène et filets de laiton sur fond d'amarante a quant à elle été vendue pour 45 000 euros.
Le 9 avril, l'étude Tajan a obtenu 32 000 euros pour « La Bible » (Paris, Tériade, 1956) en deux volumes illustrés de 105 eaux-fortes de Marc Chagall (un des 295 exemplaires sur montval). Deux ouvrages de la photographe Germaine Krull, «Métal» (Librairie des Arts Décoratifs avec 64 planches) et « Marseille » (Paris, Plon, 1955 avec 46 photographies reproduites en héliographie) ont été vendus pour 10 500 euros sur une estimation haute de 220 euros.
Une collection complète de la revue « Verve » (le numéro 24 toutefois manquant) a été adjugée pour 10 000 euros.
Le 10 avril, l'étude Tajan a recueilli une enchère de 42 000 euros sur une montre d'homme Cartier en platine, guichets pour les heures et les minutes, à mouvement mécanique à remontage manuel, fabriquée à 150 exemplaires. La même étude a enregistré 51 000 euros pour un bracelet torque signé René Lalique en or jaune appliqué de motifs de fleurs et de fruits émaillés, orné d'un cabochon de turquoise dans une monture ajourée réalisé vers 1900 (poids 53,6 g).
Une montre Rolex chronographe en acier anti-magnétique vers 1950 avec cadran à trois compteurs (jour-mois-date) a été vendue pour 36 000 euros et une broche libellule Art Nouveau (8,5 cm x 12,5 cm) en or jaune aux ailes ajourées d'une résille d'or et émaux translucides rehaussés de diamants en rose et de saphirs calibrés a atteint 23 000 euros.
Une broche de Lalique en or mat et brillant (poids 25,2 g) représentant un visage en émail mat émergeant de branchages retenant des pommes de pin en émail vert a triplé son estimation pour atteindre 30 000 euros.
Le groupe PIASA a vendu pour 16 000 euros une huile figurative titrée « Nature morte aux poissons » (38 x 46 cm) de Jean Fautrier et pour 14 000 euros un portrait de Serge Lifar (28 x 26,5 cm) au crayon par Joan Miro daté du mois d'août 1966.
Une huile sur toile de l'artiste portugais Francis Smith intitulée « Le Petit Coignet par Brignoles, Var » (50 x 61 cm) a été adjugée pour 35 000 euros alors qu'une huile sur carton (97 x 68,5 cm) du peintre hongrois Rippl-Ronaï (1861-1927) représentant une nature morte japonisante a été enlevée pour 24 000 euros.
Une gouache (26,5 x 33 cm) de Gino Severeni intitulée «Nature morte au pigeon» a été vendue pour 19 000 euros et un acrylique abstrait sur toile (195 x 130 cm) de Gérard Schneider (1896-1986) a atteint 13 500 euros.
Le 11 avril, à l'Hôtel des ventes du Palais des Congrès, un fusain (63 x 48 cm) de Toulouse-Lautrec représentant son oncle, le comte Charles de Toulouse-Lautrec en 1882 a été adjugé pour 56 000 euros. Une étude (55 x 37 cm) pour les travaux de la place de la Concorde par Henri Martin (1860-1943) a été vendue pour 35 000 euros, au triple de son estimation.
Une enchère surprise de 22 000 euros a été enregistrée pour une huile de l'école pointilliste représentant le Pont Alexandre III à Paris (119 x 122 cm) alors qu'un dessin de Gustav Klimt réalisé vers 1898 et représentant un portrait de jeune fille (42,5 x 27,5 cm) a été vendu pour 42 000 euros.
Une huile sur toile d'Albert Marquet montrant le port de Marseille vers 1916 (50 x 65 cm) a culminé à 95 000 euros et une huile sur panneau de Jean Metzinger datée de 1911 représentant un nu (52 x 35 cm) a été vendue pour 150 000 euros. A noter que cette œuvre avait été adjugée pour plus de 320 000 euros lors de la fameuse vente Bourdon organisée par l'étude Loudmer en mars 1990. Par ailleurs, une huile sur isorel d'Anthony Clavé intitulée « La Petite Fille à la cage » (32 x 16 cm) a recueilli 18 500 euros.
Le 12 avril, l'étude Boisgirard a vendu pour 88 000 euros une huile sur toile de Johan-Barthold Jongkind de 1863 intitulée « La jetée en bois de Honfleur » (33 x 43 cm) sur une estimation située entre 45 000 et 60 000 euros.
Une nature morte sur toile de 1948 par Georges Braque titrée «Pots de fruits» (38 x 78 cm) a été vendue pour 187 000 euros, dans sa fourchette d'estimation. Une encre sur papier (75 x 105 cm) par Henri Michaux intitulée « Composition » a atteint 16 000 euros.
Encore le 12 avril, l'étude Chambelland-Giafferi a enregistré quelques bons scores lors d'une vente de l'atelier de Charavel (1877-1961), un peintre né à Marseille qui travailla à Paris. Une huile sur toile de 1909 montrant deux élégantes sur une falaise (165 x 265 cm) a été adjugée pour 25 000 euros. «Le Couvert à Sainte-Maxime» (149 x 198 cm) a atteint 12 500 euros et une femme à l'enfant (196 x 112 cm) a été adjugée pour 10 000 euros.
L'étude Binoche a obtenu une enchère de 35 000 euros pour une huile sur carton figurative de Nicolas de Staël intitulée « Nature morte à la pipe » (62 x 77 cm), en dessous de son estimation basse.
Une toile abstraite de Simon Hantaï datée de 1958 (145 x 103,5 cm) a quant à elle été vendue pour 32 000 euros et une sculpture en bronze de Chana Orloff titrée «Jeune fille à la chevelure» de 1927 (98 cm de hauteur), fonte Alexis Rudier, a été adjugée pour 30 000 euros.
L'étude Binoche a vendu pour 24 000 euros un mobilier de salle à manger en bois verni noir, comprenant une table à la ceinture à découpe ondulée et six chaises et deux fauteuils à dossiers et assises trèfles par Jean Royère. Un buffet assorti à trois portes à découpe ondulée et à fond plaque de verre opalin céladon, toujours de Royère, a atteint 21 000 euros et un lustre « Mosquée » à six lumières en tube d'acier patiné à la feuille d'or, encore de Royère, a été enlevé pour 23 000 euros.
Un lampadaire« mille-pattes » de Royère à fût formé de 12 tiges d'acier patiné à la feuille d'or, la base et la partie haute étranglées par des bagues patinées noir (158 cm de hauteur) a été adjugé pour 42 000 euros tandis qu'un vase ovoïde d'Emile Gallé en verre multicouche soufflé moulé à décor d'une ronde d'éléphants bruns, de palmiers et de nuages verts dégagés à l'acide sur fond jaune (hauteur 38 cm) a atteint un prix similaire.
Le groupe PIASA a enregistré une enchère de 102 500 euros, un record mondial, pour l'ouvrage « Mort à Crédit » (Paris Denoël et Steele, 1936) de Louis-Ferdinand Céline illustré de gouaches originales de Gen Paul, un des 22 exemplaires hors commerce du tirage de tête sur japon. Il contient 164 gouaches originales dont 15 à pleine page et de deux dessins.
Une lettre autographe de huit pages du marquis de Sade adressée à son avocat peu après le 20 janvier 1777 a atteint 21 000 euros, soit sept fois son estimation. Dans cette lettre, il mentionne une tentative d'assassinat à son encontre par Treillet, venu défendre l'honneur de sa fille Justine, sa cuisinière. Une autre lettre du marquis,datée de 1778, contant à son avocat son évasion de Valence, a été vendue pour 20 500 euros.
Une lettre autographe de deux pages signée de Sébastien 1er (1554-1578), roi du Portugal, à Philippe II d'Espagne a été adjugée pour 11 500 euros et une lettre de quatre pages écrite en russe et en français par le tsar Alexandre II (1818-1881) à sa maîtresse Catherine Dolgorouki, plus connue sous le nom de « Katia » a été vendue pour 10 500 euros.
L'étude Gros-Delettrez a obtenu 48 000 euros sur une sanguine de Gaspard Dughet (1615-1675) représentant un paysage animé de personnages au bord d'un cours d'eau (28 x 41,8 cm). Une paire de toiles de Pierre Antoine Patel représentant des ruines antiques dans un paysage animé de bergers (63 x 80 cm) a suscité une enchère de 36 000 euros tandis qu'un violoncelle portant l'étiquette de Georges Chanot à Paris daté de 1830 a culminé à 61 000 euros.
L'étude Million a vendu pour 6 000 euros un portrait de dame de qualité de l'entourage de Nicholas Hilliard sur papier marouflé sur panneau ovale (10,5 cm de diamètre) et une table console d'époque Régence en bois relaqué vert à décor de rinceaux et coquille, reposant sur quatre pieds cambrés entretoisés en X (longueur 131 cm) a atteint 24 000 euros, au triple de son estimation.